L'anneau, l'escalier, le ciel en haut, une photo hautement symbolique que j'apprécie beaucoup. Pourrais tu me dire avec lequel de tes blogs je dois faire le lien, je m'y perds un peu c'est pourquoi je t'ai laissé au chaud dans les "braises" du laboratoire en attendant; amitiés.
Belle image et joli contraste entre les belles et fines fleurs de cette plante herbacée délicatement agrippée à ce mur et l'austérité de cet anneau de fer scellé dans la pierre, Composition intéressante et suggestive dans cette montée d'escalier.
comme tu as si bien su faire parler cet anneau alors qu'en fait c'est un détail du mur, et bien toi tu l'as rendu la piece maitresse ! les escaliers épuisants à monter !
L'anneau n'est pas dans la coulisse grace à lui on se hisse il nous fait prendre de la hauteur avec lui l'auteur n'en a pas marre et rien ne se barre triple boucle pas piquée et l'air qui vibre comme cymbale pas accessoire mais essentiel et le fer peint qui ne sombre pas un amer et un droit, un poids et presque un toit combien se pressent pour lui prêts à faire relache à bon droit
au bas d'une volée d'escalier scellé dans le fort mur réduit à osciller au gré du courant comme une excroissance d'armure il n'est pas prêt de plier certes il peut jouer de bas en haut et puis circuler, laissant rouler sur l'eau c'est plus qu'une boucle pas encore un cerceau c'est un arceau de protection qui fixe et qui retient plus que l'attention et dont la tension n'en viendrait pas à bout pour peu que le cordage en guise d'aussiére soit aussi résistant qu'hier
Robuste et presque conquérant il annonce des départs et aussi des retours on s'y cale fermement car il est le ferment d'une stabilité presque retrouvée après avoir été fort éprouvé avec lui l'assiette retrouve un semblant d'horizontalité et pourtant c'est vers le haut qu'il entrebaille notre vision ferronerie il orne et ne rogne pas il est peut être borgne mais presque cyclopéen il annonce l'herculéen et les forges d'Hephaistos dans l'attente de Neptune il ne suffit pas de jeter l'amarre pour s'y fixer ce n'est pas le poids d'une gabarre qui pour autant l'effraie
Pas escarboucle légérement fichée comme fanon et autres colifichets au bout d'un penne on n'est pas à la peine même si on est en panne et on peut attendre sereinement la marée
Il faut un abri pour pouvoir s'épanouir mais la liberté aussi est nécessaire. Votre image représente joliment ces besoins parfois contradictoires. L'anneau forme un beau cadre pour la cymbalaire ! Merci pour votre visite !
> Brigetoun, à l'abri, au soleil, s'asseoir sur la marche, le temps des voyages passé.
> Ariaga, créer un lien rien de tel qu'un anneau. Pourquoi pas avec celui-ci, A mi-voix ? Merci, dans tous les cas.
> Tilia, chercher les liens de cette chanson . Tels ceux de l'anneau, ils sont multiples et l'auteur interrogé s'en tire pas une pirouette. Merci du lien, à la fois pour le texte de la chanson et les commentaires qui suivent.
> Christineeeee, si j'en crois l'histoire de ce canal qui relie la Loire au Loing, cet anneau date de 17è siècle.... exactement situé au débouché sur la Loire.
> Mémoire du silence, ton image me plaît de cet anneau d'oreille, témoin, ici, d'une marine à jamais en cale sèche.
> Neyde, tu portes ton attention sur la plante, cette charmante linaire qui porte encore le nom de Ruine-de-Rome. Elle se glisse dans la moindre anfractuosité des murs. La vie ne serait -elle qu'une ascension ?
>> vais-je encore longtemps m'attacher à Blogger ?
Toute la suite de mes commentaires s'est encore une fois volatilisé...
Désolé pour vous, Monique, Laurence, Pat, Thierry (si prolixe), Fifi, Lautreje, Estourelle, Annick, Naline et Philoplume, mais il se fait tard et ne suit plus très vaillant.
> Gérard, il faut le remonter après l'avoir descendu, l'escalier! Prendre son temps, ménager son souffle pour gagner le ciel symbolisé ici par l'anneau circulaire, opposé à la terre carrée
L'anneau pour enchaîner, la cymbalaire (merci pour le nom) pour apporter un peu de tendresse au prisonnier, l'escalier pour s'évader vers le ciel (?) ...
fer, pierre,
RépondreSupprimerciel et cymbalaire,
me sont doux -
s'asseoir là sur une marche
et regarder le jour
L'anneau, l'escalier, le ciel en haut, une photo hautement symbolique que j'apprécie beaucoup. Pourrais tu me dire avec lequel de tes blogs je dois faire le lien, je m'y perds un peu c'est pourquoi je t'ai laissé au chaud dans les "braises" du laboratoire en attendant; amitiés.
RépondreSupprimerStairway To Heaven...
RépondreSupprimerBelle série d'anneaux et de cordages.
RépondreSupprimerAu moins, celui-ci, c'est du costaud, qui n'est pas prêt de s'arracher si on lui tire un peu trop dessus !
Biseeeeeeeeeeeeees de Christineeeeeee
A l'oreille de la pierre
RépondreSupprimerun anneau de pirate
En haut de l'escalier
le grand large ... l'infini
Pierre,
RépondreSupprimerune fleur pour pousser
ne depend que d'un petit grain de terre.
Mais nous,
tant de grains éxigeons ...
Ta photo,
avec cet escalier est le symbole de l'espoir
L'anneau nous indique le chemin
La fleur nous donne courage
Il faut monter pour voir l'infini
Belle image et joli contraste entre les belles et fines fleurs de cette plante herbacée délicatement agrippée à ce mur et l'austérité de cet anneau de fer scellé dans la pierre, Composition intéressante et suggestive dans cette montée d'escalier.
RépondreSupprimercomme tu as si bien su faire parler cet anneau alors qu'en fait c'est un détail du mur, et bien toi tu l'as rendu la piece maitresse !
RépondreSupprimerles escaliers épuisants à monter !
Le temps en amarrage...
RépondreSupprimerL'anneau n'est pas dans la coulisse
RépondreSupprimergrace à lui on se hisse
il nous fait prendre de la hauteur
avec lui l'auteur n'en a pas marre
et rien ne se barre
triple boucle pas piquée
et l'air qui vibre comme cymbale
pas accessoire mais essentiel
et le fer peint qui ne sombre pas
un amer et un droit,
un poids et presque un toit
combien se pressent pour lui
prêts à faire relache
à bon droit
au bas d'une volée d'escalier
RépondreSupprimerscellé dans le fort mur
réduit à osciller au gré du courant
comme une excroissance d'armure
il n'est pas prêt de plier
certes il peut jouer de bas en haut
et puis circuler, laissant rouler sur l'eau
c'est plus qu'une boucle
pas encore un cerceau
c'est un arceau de protection
qui fixe et qui retient
plus que l'attention
et dont la tension
n'en viendrait pas à bout
pour peu que le cordage
en guise d'aussiére
soit aussi résistant qu'hier
Robuste et presque conquérant
RépondreSupprimeril annonce des départs
et aussi des retours
on s'y cale fermement
car il est le ferment
d'une stabilité presque retrouvée
après avoir été fort éprouvé
avec lui l'assiette retrouve
un semblant d'horizontalité
et pourtant c'est vers le haut
qu'il entrebaille notre vision
ferronerie il orne et ne rogne pas
il est peut être borgne
mais presque cyclopéen
il annonce l'herculéen
et les forges d'Hephaistos
dans l'attente de Neptune
il ne suffit pas de jeter l'amarre
pour s'y fixer
ce n'est pas le poids d'une gabarre
qui pour autant l'effraie
Pas escarboucle légérement fichée
RépondreSupprimercomme fanon et autres colifichets
au bout d'un penne
on n'est pas à la peine
même si on est en panne
et on peut attendre sereinement la marée
Il faut un abri pour pouvoir s'épanouir mais la liberté aussi est nécessaire. Votre image représente joliment ces besoins parfois contradictoires. L'anneau forme un beau cadre pour la cymbalaire !
RépondreSupprimerMerci pour votre visite !
Miel de pissenlit ou cramaillotte
RépondreSupprimerIngrédients (pour 800 g environ) :
- 1 kg de fleurs de pissenlit (sans la tige)
- 6 dl d'eau
- 3 jus de citron
- 1,5 kg de sucre
Préparation :
Faire bouillir l'eau, ajouter les fleurs. Cuire 30 minutes.
Filtrer, puis ajouter les jus de citron et le sucre. Cuire encore une fois 30 minutes à feu moyen jusqu'à consistance d'un miel frais.
Mettre dans un bocal.
Durée de conservation : environ 6 mois.
Je n'ose pas trop avec mes manifestants des vignes (trop traitées ) :-(
Bonne après midi à vous !
pierre généreuse qui accueille l'anneau
RépondreSupprimerLa cymbalaire est bien cachée
RépondreSupprimerhumble et vivace
petite flaque d'espérance
avant que les lames
ne brisent
la ténacité
des fleurs sauvages
Jolie photo pour un fort beau texte,
RépondreSupprimerj ai ouvert mon dico pour deux mots....
Assurance tous risques ?
RépondreSupprimerBelle photo. Fine verdure sur le môle et l'anneau attend l'abordage d'un bâteau. De l'escalier, la vue doit être superbe dans ce décor naturel.
RépondreSupprimer> Brigetoun, à l'abri, au soleil, s'asseoir sur la marche, le temps des voyages passé.
RépondreSupprimer> Ariaga, créer un lien rien de tel qu'un anneau. Pourquoi pas avec celui-ci, A mi-voix ?
Merci, dans tous les cas.
> Tilia, chercher les liens de cette chanson . Tels ceux de l'anneau, ils sont multiples et l'auteur interrogé s'en tire pas une pirouette. Merci du lien, à la fois pour le texte de la chanson et les commentaires qui suivent.
> Christineeeee, si j'en crois l'histoire de ce canal qui relie la Loire au Loing, cet anneau date de 17è siècle.... exactement situé au débouché sur la Loire.
> Mémoire du silence, ton image me plaît de cet anneau d'oreille, témoin, ici, d'une marine à jamais en cale sèche.
> Neyde, tu portes ton attention sur la plante, cette charmante linaire qui porte encore le nom de Ruine-de-Rome. Elle se glisse dans la moindre anfractuosité des murs.
La vie ne serait -elle qu'une ascension ?
>> vais-je encore longtemps m'attacher à Blogger ?
RépondreSupprimerToute la suite de mes commentaires s'est encore une fois volatilisé...
Désolé pour vous, Monique, Laurence, Pat, Thierry (si prolixe), Fifi, Lautreje, Estourelle, Annick, Naline et Philoplume, mais il se fait tard et ne suit plus très vaillant.
en grand seigneur ! !
RépondreSupprimer> Gérard, il faut le remonter après l'avoir descendu, l'escalier! Prendre son temps, ménager son souffle pour gagner le ciel symbolisé ici par l'anneau circulaire, opposé à la terre carrée
RépondreSupprimerTu as toujours les mots choisis, merci Pierre.
RépondreSupprimerL'anneau pour enchaîner, la cymbalaire (merci pour le nom) pour apporter un peu de tendresse au prisonnier, l'escalier pour s'évader vers le ciel (?) ...
RépondreSupprimerBeau dimanche pascal.