lundi 30 mai 2016

La maison du Centaure...


La maison du Centaure
à la proue de l'Île
le flot fendu



" Il m'arrive souvent, le soir, de m'attarder sur le petit parvis, à la pointe occidentale de l'île, devant la maison dite du Centaure, qui doit son nom aux deux médaillons sculptés, sur les pans coupés de sa façade, et qui illustrent le combat d'Hercule conte le centaure Nessus. Je me souviens que chaque année, jusque dans les années 1950 et 1960, au 14 juillet, un bal y était organisé par la cellule locale du parti communiste. Des lampions couraient d'un réverbère à l'autre..."

Frédéric Vitoux, Au rendez-vous des mariniers, Librairie Arthème Fayard, 2016, p 216

Aujourd'hui, place Louis Aragon.



10 commentaires:

  1. relancer le bal, le cadre est rêvé

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Avec des talons hauts, attention les pavés, les cavalières!

      Supprimer
  2. sans tort il se tord et frappe quand même

    excuses moi Pierre pour cette si longue absence

    la vie peut réserver parfois des surprises et on fait avec ...

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Aucun soucis Thierry; heureux de te croiser ici, sur le plus beau point de vue sur Seine.

      Supprimer
  3. Nos fleuves en ce printemps sont comme le monde gros de colère et leurs flots pourraient bien inonder leurs rives en conséquences....

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. C'est le ciel qui nous tombe sur la tête !
      La Loire qui avait baissé remonte; la petite rivière de ma campagne prend la clé des champs.

      Supprimer
  4. Orléans n'est pas épargné tout comme Blois d'où je reviens, et pour beaucoup une réelle catastrophe, j'espère que vous allez bien.Quand je suis partie la Loire était très haute.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. 1 mètre 32 à Orléans pour laa Loire et elle poursuit sa montée. J'étais à Blois, heureusement, la semaine dernière. Une belle journée dans cette splendide cité.

      Supprimer
  5. Aujourd'hui, la place Louis Aragon est sous l'eau et le réverbère à la pointe de l'île a de l'eau jusqu'au cou !

    Dans mon coin les péniches se haussent du col jusqu'à sembler vouloir envahir les rues de Port-Marly (voir mon billet de ce matin, 4 juin).

    Comme Monique, je croise les doigts pour que tout se passe bien chez vous.
    Amitiés

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. J'ai vu Tilia ! Heureusement que l'ai pris le large à temps. En ce début de samedi après-midi, la Seine comme la Loire marquent un répit et semblent se calmer...

      Supprimer