Un lieu jadis hors des murs de la cité complanté de vignes jusqu'au milieu du 18ème siècle puis cimetière de la ville grandissante. Le pré carré abandonné devient un parc en 1927, dédié à Louis Pasteur qui le 11 novembre 1867 avait exposé ses travaux sur le vinaigre en cette ville de vinaigriers. Quatre hectares pour un jardin d'esprit composite comme on en composait à l'époque.
Les arbres d'origine ont vieillis, quelques beaux sujets encore; de rares arbres plus jeunes prospèrent; une grotte, des statues, des plates-bandes fleuries en saison. Un paradis en plein centre-ville pour le plaisir des enfants et des promeneurs.
Un début ...
RépondreSupprimerUn début qui est toujours en continuité avec le passé...
SupprimerJe venais là enfant avec un petit canot, seul capitaine à bord, dont on remontait le ressort du moteur avec une clé qu'il fallait précieusement garder sans sa poche...
l'aimerais - juste ce qu'il me faut
RépondreSupprimerUn peu vaste, Brigitte, cependant, mais trop petit pour nos errances.
SupprimerUn magnifique poumon qui est là pour rassurer et faire patienter ceux qui rêvent de plus larges espaces.
RépondreSupprimerAssez rare un tel poumon en pleine ville...
SupprimerÀ Nice il y a le Mont Vinaigrier et le parc du même nom qui a bien failli être ratiboisé par les promoteurs. Racheté par le Conservatoire du Littoral, il est à présent hors de danger, pour le plus grand plaisir des promeneurs.
RépondreSupprimerLes promoteurs , alliés des municipalités quand ce ne sont pas elles qui vont les chercher. La nature dénaturée. Ou ce qu'il en subsiste.
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