mardi 13 novembre 2012

enseigne (3)



Une des premières assurances vie

morte plus que centenaire

l'éternité n'a pas de prix




38 commentaires:

  1. Assez rare ce type de plaque. En métal repoussé, on connaît surtout celles des notaires et autres avoués. Il y a eu tellement de plaques d'assureurs en tôle émaillée... Comment pourrait-on appeler un collectionneur de plaques de compagnies d'assurances ? Assecurplaquophile ?
    :D)

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. > Joli, Michel, le néologisme. Un peu difficile à prononcer et à retenir mais que dirais-tu de " assuranplaquophilie " ?

      Supprimer
  2. l'Union avait assez d'importance et d'argent pour s'offrir ça - morte ou absorbée ?

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. > Brigitte celerier, je le veux, crée en 1829 sous l'instigation du banquier Fould et de quelques autres. La société a été nationalisée en 1946 et je crois a fini par être absorbée par le groupe Axa.

      Supprimer
  3. Réponses
    1. > Dominique Autrou, les gros poissons se nourrissent des plus petits...

      Supprimer
  4. Les gros poissons engraissent sur le dos des pauvres pigeons

    RépondreSupprimer
  5. Mais la plaque est restée, la mémoire aussi.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. > Françoise Dumon, une chance ou respect de l'histoire ? La mémoire est sans prix.

      Supprimer
  6. Axa paraît avoir bien assuré la relève...!

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. > Tanette, ne saurais te répondre n'étant pas spécialiste en affaires financières et en questions d'assurances vie.

      Supprimer
  7. Un souvenir !!! et le sens de la formule et du dessin
    Belle image, Plaque historique

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. > Arlettart, un dessin clair, manière antique, et une belle calligraphie. Toute simple en fait, pas tapageuse comme nombre de nos enseignes lumineuses...

      Supprimer
  8. J'en ai une sur ma maison ! Celle-ci est très belle avec ses deux anges !

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. > Enitram, à conserver même si ravalement de la façade prévu ou à prévoir... Je me demande, à ce propos, si une telle pub peut-être considérée comme une véritable enseigne ? Je crois tout simplement que la plaque est purement indicative et utilisée comme réclame, apposée sur un mur, dans une bourgade...

      Supprimer
  9. cela avait de la gueule...et de la résistance!

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. > fred, on ne lésinait pas sur les choses en ce temps-là. La preuve, c'est que la plaque n'est pas même ternie et qu'elle conserve toute sa fraîcheur.

      Supprimer
  10. J'ai fait il y a peu une photo semblable, pour vous "L'UNION" pour moi "LA CONFIANCE" elle a résisté aux restaurations d'un vieux mas à St Rémy de Provence où le propriétaire des lieux m'affirmait que c'était pour signifier que la maison était bien assurée, étonnant ces plaques, elles auraient été mises sur les façades comme protection contre les incendiaires qui auraient voulu ruiner leur ennemi par le feu!!!! peine perdue puisque les Assurances auraient pris en charge le désastre !!! Je n'ai aucune "assurance" que ces propos soient exacts-;)

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. > Monique, je crois que tu as raison pour ce qui est de la pose ces plaques " assurant " que le logis est bien protégé. Auquel cas, cette plaque n'a rien d'une enseigne à proprement parler. C'est un simple témoignage.

      Supprimer
  11. Assurance. Au moins ils ont assuré la mémoire.
    Ne sommes nous ici parlant sur lui? ou sur eux?
    Une petite histoire de plaque :
    Quand j'ai étudié à l'internat, mon nombre était 200.
    Devant une maison près de moi avait une plaque avec ce nombre.
    Elle était belle, bien décorée et je l'aimait.
    La maison a été vendue et le nouveau proprietaire a fait des modifications.
    Un jour quand j'ai passé devant la maison, la plaque restait là au sol parmi les briques, les dejets de la construction.
    Le nouveau voisin était là et moi, je lui ai racconté de mon amour pour la plaque et sur la coincidence du nombre.
    Le jour suivant il est venu chez moi avec la plaque, propre et bien gardée dans une boite. Un beau cadeau, au moins pour moi!

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. > Neyde, une histoire et un témoignage charmants comme tu sais nous en donner. merci.

      Supprimer
  12. L'assurance a plaqué ses ouailles...

    Maintenant, "C'est la Maaf" et autres pubs criardes.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. > Dominique Hasselmann, aujourd'hui plus discrètes mais plus insistantes et perverses.

      Supprimer
  13. Pourquoi pas la solidarité vigneronne pendant qu'on y est, pour que les grappes grimpent

    RépondreSupprimer
  14. Une petite histoire Neyde qui me plait beaucoup et qui n'est pas anodine, très belle et profondément touchante, c'est ce genre de petits faits qui font les petites saveurs de la vie, des petites friandises que l'on garde en mémoire comme ces plaques qui sont des jolis petits signes du passé.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. > Monique, des signes que dans une génération encore on ne saura plus guère expliquer.

      Supprimer
  15. Pardon, Pierre, je vais parler à Monique :
    Chère Monique, l'àme se nourisse de ces petits faits qui non pas prix!
    C'est bon te trouver chez les amis.
    J'aime aussi ce blog, j'apprends beaucoup avec Pierre!

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. > Neyde, j'aime ce dialogue qui s'ouvre entre les visiteurs. Des liens s'établissent, se renforcent. Chère Neyde, tu es trop bonne pour le blog tu vas troubler l'auteur !

      Supprimer
  16. un petit coucou en passant . Ton blog ne manque pas d'assurance!

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. > Fred, il le fallait. De l'audace, toujours de l'audace, disait quelqu'un...Merci de ton passage et de tes mots.

      Supprimer
  17. Réponses
    1. > Pensées au fil de l'eau, un appel à la mémoire...

      Supprimer
  18. pas tous risques , même ceux du temps qui passe et de la lumière et de l'air qui ternissent le métal

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. > Thierry, dans la solive, elle est solidement fixée. Mais jusqu'à quand ?

      Supprimer
  19. Sa vie a été longue, elle s'était auto-assurée ...

    On a aussi connu " L'Abeille " mais pas de plaques retrouvées sur les murs ...

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. > Midolu, la liste en serait longue, les dénominations diverses et variée. Le Phénix, la Nationale, la Providence, la Paternelle, l'Union, etc. Assurances soit à prime, soit mutuelles. Au début, régionales puis nationales pour, de nos jours, s'ouvrir à l'International, mondialisation oblige.

      Supprimer