mercredi 1 août 2012

fenêtre sur rue



Demi-persiennes

pampres et rinceaux

le balcon ouvragé


Orléans, par les rues, la vieille cité.




21 commentaires:

  1. belle lumière et superbe fantaisie de la ferronnerie

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    1. > Brigitte Celerier, une maison Dix-Huitième siècle. Qui vient de trouver acheteur.

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  2. Coup de coeur pour ce balcon superbement travaillé.

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    1. > Tanette, et moi coup de cœur pour la façade en son entier...

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    1. > Michel, les volutes de fer forgé pourraient nous faire penser Art Nouveau mais pur 18ème siècle néanmoins.

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  4. Ainsi le soir à son balcon
    La belle en sa robe légère
    Ecoutait la douce sérénade
    D'un éventuel prince charmant
    La fenêtre s'ouvrait sur le rêve
    Les rideaux s'écartaient
    Laissant entrer une aura d'exaltation....

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  5. Au travers d'un temps
    Voir ses espaces pensés
    tirer sa vie en biais
    pour en alourdir la fin...

    douce journée Pierre
    Bisous bleus
    Gisèle

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    1. > Rêveuse bleue, La fenêtre close, le ciel dans les vitres se reflète, prétexte à tous les rêves.

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  6. Fer ornerie qui ne ment pas sur les intentions et flatte notre regard, entrelacs où l'on se plairait à grappiller ce qui pourrait passer pour raisins, et cette impression étrange de demi jour puisque l'obscurité ne saurait être totale

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    1. > Thierry, on pense, au premier coup d'œil, à deux grappes de raisin comme éléments décoratifs. Mis à part les palmes, rien de figuratif en cette œuvre où l'artisan se joue de la fausse-symétrie.

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  7. reflets jouant aussi sur les voiles légers
    Mais gare aux rêves le socle du balcon est tout fragilisé

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    1. > Arlettart, le rebord aurait grand besoin de l'intervention du restaurateur. La pierre trop fragile et exposée aux intempéries s'effrite et son rebord se ronge.

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  8. C'est Printemps et le ciel, à ce matin, est bleu. Elle vient à la fenêtre avec sa longue jupe bleue comme le ciel, en compas avec ses yeux.
    Le parfun des fleurs viennent en douceur et elle l'a vu, élégant et gentil.
    Il touche le chapeau et lui fait un petit signe.
    Elle sourit et son coeur bat plus fort.
    Sera-t-il l'amour?
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    Pierre, je ne sais pourquoi, mais cette image est venue à ma tête, en regardant cette fenêtre.

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    1. > Neyde, la scène du balcon, Beaumarchais et Rossini, Rosine et son soupirant, Il barbiere di Siviglia. C'est le décor qu'il nous faut. Pur 18ème! Tu as raison, il s'agit bien d'amour.

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  9. Et moi, je voudrais voir ce que l'on peut voir de cette belle fenêtre !
    Comme Neyde, j'imagine une scène de rue, au XVIIIe, au XIXe ou même au XXIe siècle...

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    1. > Enitram, les rues se lisent comme un livre d'histoire; elles se feuillettent, le regard passant d'une façade à l'autre, sautant d'une époque à l'autre, sans continuité aucune, sans autre logique que celles des choses humaines qui n'ont pas de logique.

      Me promenant dans ces rues de la vieille ville, je ne peux penser qu'à Balzac qui a si bien su recréer l'atmosphère de ces demeures bourgeoises d'une autre ville ligérienne, Saumur. Eugénie Grandet pourrait nous servir de guide.

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  10. Ouverture vers le monde
    écrire au balcon
    le temps de Balzac

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    1. > Pensées au fil de l'eau, errant en ces rues anciennes, je pense souvent à Balzac. Une ville commerçante, de vieille bourgeoisie et qui s'est endormie, ensablée comme les eaux de la Loire en été.

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  11. Coucou, je suis tombée par hasard sur ton blog, mais quel hasard !
    Je suis admirative de tes photos de ces lieux que je connais très bien, j'habite Saint-Jean-de-la-Ruelle et j'ai marché tant de fois dans ces rues qui descendent vers la Loire...
    Je ravie de te suivre désormais en tant que membre, merci pour autant de qualité !

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