> Arlettart, une impression de sérénité en cette cour-jardin qui ressemble fort à un cloître de monastère. L'ensemble des bâtiments devraient être prochainement convertis en un centre universitaire.
> Rêveuse bleue, de hauts et larges vitrages laissant pénétrer à flot la lumière tout en protégeant les convalescents qui venaient s'y promener. La vie retrouvée.
> Françoise Dumon, un peu de l'esprit du XVIIème siècle. Le jardin, au centre, naturellement à la française. Avec la volonté, très en avance sur son temps, de faire pénétrer le maximum de lumière.
> Mémoire du silence, la volupté comme un baume. Un rayon de soleil tel un sourire. Et la lumière à flot s'épand et donne un peu de vie à ces corps meurtris par le mal.
> Pensées au fil de l'eau, se méfier du démon qui guette aux quatre coins bien que le jardin symbolise le jardin d'Eden. Il en fut chassé mais il est malin et peut toujours surgir là où on ne l'attend pas.
Ont-elles toujours été vitrées ces arcades ou bien comme dans certaines abbayes ont-elles été rajoutées à l'ouvrage initial, grand bâtiment qui semble avoir un bel avenir devant lui. En Arles l'Université a également investi un bâtiment prestigieux à l'espace Van Gogh ancien Hôpital également avec cloître et jardin ; faire des études dans un tel lieu c'est vraiment un plus non négligeable.
Étrange impression de me trouver à l'intérieur d'un lycée, ou d'une École Normale d'instituteurs ... Couloir du réfectoire, peut-être, ou des parties administratives ...
et une noblesse du rythme qui doit donner pas majestueux, instinctivement
RépondreSupprimer> Brigitte Celerier, promenade à petits pas convalescents, à l'abri des courants d'air.
Supprimer"le jet d'eau silencieux"
RépondreSupprimerHôpital-Silence...
> Tilia, l'ancien Hôpital général Madeleine datant du XVIIè siècle, édifié à l'emplacement de l'arsenal de la ville...
SupprimerUn promenoir à parcourir en méditation
RépondreSupprimerDans le treillis des ombres silencieuses
> Arlettart, une impression de sérénité en cette cour-jardin qui ressemble fort à un cloître de monastère. L'ensemble des bâtiments devraient être prochainement convertis en un centre universitaire.
Supprimerun jardin fleurit
RépondreSupprimerun bassin enfermant son jet d'eau
autour la lumière encerclée
> Rêveuse bleue, de hauts et larges vitrages laissant pénétrer à flot la lumière tout en protégeant les convalescents qui venaient s'y promener. La vie retrouvée.
Supprimerla vie n'est jamais vraiment perdue...
Supprimer> Rêveuse bleue, non seulement la vie perdure mais quand elle disparaît elle laisse de nombreuses traces qu'il est émouvant de découvrir.
Supprimerles cicatrices seront belles en la douceur d'un matin nouveau...
SupprimerL'arcade toujours arrondit l'image.
RépondreSupprimer> Dominique, sans sourciller, je souscris à tes dires.
SupprimerJe me disais que cela faisait très "Grand Siècle", avec des majuscules. La lumière à travers ces grands vitrages devait réchauffer les convalescents.
RépondreSupprimer> Françoise Dumon, un peu de l'esprit du XVIIème siècle. Le jardin, au centre, naturellement à la française. Avec la volonté, très en avance sur son temps, de faire pénétrer le maximum de lumière.
Supprimeret la lumière
RépondreSupprimercette précieuse
volupté
> Mémoire du silence, la volupté comme un baume. Un rayon de soleil tel un sourire. Et la lumière à flot s'épand et donne un peu de vie à ces corps meurtris par le mal.
SupprimerJe me rêve d'un cloître où mon âme se perdrait
RépondreSupprimer> Pensées au fil de l'eau, se méfier du démon qui guette aux quatre coins bien que le jardin symbolise le jardin d'Eden. Il en fut chassé mais il est malin et peut toujours surgir là où on ne l'attend pas.
RépondreSupprimerOnt-elles toujours été vitrées ces arcades ou bien comme dans certaines abbayes ont-elles été rajoutées à l'ouvrage initial, grand bâtiment qui semble avoir un bel avenir devant lui. En Arles l'Université a également
RépondreSupprimerinvesti un bâtiment prestigieux à l'espace Van Gogh ancien Hôpital également avec cloître et jardin ; faire des études dans un tel lieu c'est vraiment un plus non négligeable.
> Monique, les arcades ont de toujours été vitrées. Circulation des malades oblige.
RépondreSupprimerÉtrange impression de me trouver à l'intérieur d'un lycée, ou d'une École Normale d'instituteurs ...
RépondreSupprimerCouloir du réfectoire, peut-être, ou des parties administratives ...