> Brigetoun, à l'origine , (en 1577 ?), pierre et brique comme la plupart des édifices "nobles" de cette époque. Bien que troublée, on construit beaucoup comme on détruit de même.
> Pensées au fil de l'eau, le programme de rénovation de la ville est vaste: plus de 300 maisons attendent la réhabilitation. Je ne sais si cette maison est sur la liste.
> Monique, maison édifiée en 1577. Nous sommes en plein dans la 6ème guerre de religion qui a duré jusqu'en septembre de cette même année. La ville a été le théâtre de premier plan dans toutes ces guerres comme nous l'avons vu notamment avec la note précédente des 4-Coins (épisode daté de 1569 lors de la 3ème guerre) ! Il n'y a pas que le temps qui est destructeur: les hommes se chargent de détruire avec la plus grande ardeur...
Derrière la fenêtre, si ce n'était de dos d'un four à micro-ondes, on pourrait croire que le récipient posé dessus est un de ces anciens vases de nuit en faïence qui se trouvaient dans les chambres à coucher jusqu'à la première moitié du siècle dernier !
> Gérard, des briques et pas seulement des briquettes. La ville, dans certains cas, participe au financement de la rénovation. Néanmoins, bien des problèmes de briques se posent pour certains propriétaires agés devant cette obligation de rénovation.
> Mémoire du silence, je crains bien que cette petite fenêtre soit condamnée depuis longtemps vu l'encombrement deviné devant elle. En tout cas, gare aux courants d'air...
> Enitram, affaire de spécialiste. De l'autre côté de la Loire se trouve une briquetterie à l'ancienne spécialisée dans ce genre de travail et qui a déjà œuvrée dans cette vaste opération de rénovation de la vielle ville.
Oui, c'est le crépi qui craint.
RépondreSupprimerMais j'aime beaucoup ce mariage de la pierre et de la brique.
> Michel, la brique en dessous semble avoir souffert des ans.
SupprimerIl n'y avait pas de traitement de protection comme aujourd'hui.
SupprimerD'où l'enduit.
et un gros éclat qui montre la brique devenue parure
RépondreSupprimer> Brigetoun, à l'origine , (en 1577 ?), pierre et brique comme la plupart des édifices "nobles" de cette époque. Bien que troublée, on construit beaucoup comme on détruit de même.
SupprimerPas de rénovations en vue ?
RépondreSupprimer> Pensées au fil de l'eau, le programme de rénovation de la ville est vaste: plus de 300 maisons attendent la réhabilitation. Je ne sais si cette maison est sur la liste.
Supprimercomme un mascara qui coule, un fard éteint, il est si dommage de maquiller ainsi l'âge privilégié des murs...
RépondreSupprimer> Cédric, bien d'autres furent de cet avis qui martelèrent le fronton de ce fenestron.
SupprimerPar la fenêtre, pièces de vaisselle un peu trop encombrantes ou... coupes sportives un rien dépassées ?
RépondreSupprimer> JEA, fenêtre d'une resserre servant de débarras sans aucun doute...
SupprimerQuand le temps dévoile
RépondreSupprimerLe dessus et ses dessous
La décrépitude
> Monique, maison édifiée en 1577. Nous sommes en plein dans la 6ème guerre de religion qui a duré jusqu'en septembre de cette même année. La ville a été le théâtre de premier plan dans toutes ces guerres comme nous l'avons vu notamment avec la note précédente des 4-Coins (épisode daté de 1569 lors de la 3ème guerre) ! Il n'y a pas que le temps qui est destructeur: les hommes se chargent de détruire avec la plus grande ardeur...
Supprimer1577 - à cet anneé là, le Brésil n'avait que 77 ans!
RépondreSupprimerNous sommes des emfamts devant la France!
> Neyde, en 1577, le Brésil dans la jeunesse de l'histoire... d'une certaine histoire qui n'a pas débuté avec l'arrivée des européens.
SupprimerC'est vraie. Mais l'autre histoire nous ne la connaissons pas. Elle a été destruite pour les "civilisateur!
Supprimer> Neyde, j'apprécie les guillemets...placés à ton dernier mot.
SupprimerDerrière la fenêtre, si ce n'était de dos d'un four à micro-ondes, on pourrait croire que le récipient posé dessus est un de ces anciens vases de nuit en faïence qui se trouvaient dans les chambres à coucher jusqu'à la première moitié du siècle dernier !
RépondreSupprimer> Tilia, c'est ce que je pense, un beau vase de nuit, blanc, immaculé, avec une anse ample que l'on doit avoir bien en main.
SupprimerEt à côté, un pot jaune nous regarde...
RépondreSupprimer> Michel, ne jetons pas trop de regards sur cette fenêtre, regards qui pourraient finir par être tenus pour indiscrets.
SupprimerIL en est ainsi des pierres et des gens ...
RépondreSupprimerquand s 'effrite le vernis il reste souvent une âme plus authentique
> Arlettart, vernis ou pas, les apparences ne sont-elles pas trompeuses ?
SupprimerIl va en falloir des brique pour rénover la façade
RépondreSupprimer> Gérard, des briques et pas seulement des briquettes. La ville, dans certains cas, participe au financement de la rénovation. Néanmoins, bien des problèmes de briques se posent pour certains propriétaires agés devant cette obligation de rénovation.
SupprimerFenêtre sur ... ciel ouvert et bleu.
RépondreSupprimer> Mémoire du silence, je crains bien que cette petite fenêtre soit condamnée depuis longtemps vu l'encombrement deviné devant elle. En tout cas, gare aux courants d'air...
SupprimerJe pense qu'il faut refaire les joints car les briques elles-mêmes peuvent rester en place encore longtemps ! Un travail très long donc cher!!
RépondreSupprimer> Enitram, affaire de spécialiste. De l'autre côté de la Loire se trouve une briquetterie à l'ancienne spécialisée dans ce genre de travail et qui a déjà œuvrée dans cette vaste opération de rénovation de la vielle ville.
Supprimermême entr'ouverte elle serait aussi belle
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