Les quatre feuilles de lierre (ainsi disposées) sont l'emblème de la 4ème division d'infanterie américaine. Mais je ne pense pas que ce soit le cas ici...?
Partiellement, mais très restaurées semble-t-il ces pierres.
Quant à la dentelle elle est tout à fait bienvenue !
> Brigetoun, le sculpteur n'a pas fait dans la dentelle mis à part le charmant angelot et les feuilles de chêne. Celle intérieure des deux rideaux adoucit heureusement l'ensemble.
Imposte qui en impose et ne hante pas, massive mais pas débordante d'artifice, sont ce des flammes qui froncent le sommet du circonflexe bracket les ouvertures ménagées donnent avec ces barreaux un drôle d'air au logis pas prison, quand au lierre écartelé il montre à tout le moins que ce n'était pas que de la façade et que dans cette famille non seulement on se multipliait mais en plus on grimpait les marches des honneurs et des charges éclairés par on ne sait quelle généreuse lumière guidant ce lignage. Héraldique armoriale qui nous enseigne parfois des traits saisissants
il ne s'agit pas d'imposteurs et ils n'ont pas fait semblant ni sans glands, sans gant ils eussent apposé non pas l'opposé mais de plus riches figurines, pourtant c'est un logis aimable et prédisposé à l'opulence modeste sans tarir ses secrets et ambitions, qui visait haut dans la convergence et la convection des forces, s'accrochant aux géants pour être aspiré vers le haut
> Thierry, un logis de bonne bourgeoisie balzacienne pour orner la façade de son logis d'une telle ornementation. L'amour et le rameau de chêne sont certes discrets mais le pinacle et ces flammes pérennes le sont bien moins. Jusqu'où se sont élevés les descendants de la maisonnée ?
< Pensées au fil de l'eau, il n'y a pas que la porte ouvragée en cette façade; d'autres élements, des montannts de fenêtres notamment, se trouvent intégrés et donc murées et qui semblent de la même époque. Ici, encore, l'histoire raccommodée, quelques pièces d'un puzzle noyés dans un crépi.
Deux yeux maquillés, un regard pour surveiller ...
La discrétion et la douceur de l'angelot et des feuilles et fruits du chêne en vis-à-vis apportent une touche charmante et légère à l'opulence du cadre.
l'huis c'est lui mais il séduit et pour son entourage le décors est chargé mais l'affaire entendue, on s'y presse avec grâce, on s’étouffe devant tant de splendeurs, il y aurait comme du second degré qu'on s'y brulerait les ailes, mais les dentelles pomponnées est si délicate , car c'est du costaud et du moyen âgeux dans l'âme ensuite s'attaquer à cette porte bien remplie n'est pas à la portée de n'importe qui
La vieillesse ... les fissures ... Mais, à l'interieur, la délicatesse, la beauté d'une dentelle. Comme tant de gens! C'est ça que cette photo me chuchote à l'oreille
Imposte.. j'aime ce mot imposte? imposture? belle ou sévère souvent sévère (Toulon ville militaire) qui trompe par un aspect qui se place au dessus ... "fausse imposte" là c'est du plus périlleux en tant qu'imposture!!!
> Arlettart, avec l'imposte on se place au-dessus. C'est la partie dormante, supérieure et vitrée, d'une porte pleine et dont le rôle est d'éclairer le couloir sur lequel elle s'ouvre.
> Tilia, non seulement martial mais il s'impose et porte haut la flamme. Un pinacle qui ne me semble pas ajouté vu la nature de la pierre semblable aux autres éléments.
Un amour à l'angle...
RépondreSupprimerLes quatre feuilles de lierre (ainsi disposées) sont l'emblème de la 4ème division d'infanterie américaine.
Mais je ne pense pas que ce soit le cas ici...?
Partiellement, mais très restaurées semble-t-il ces pierres.
Quant à la dentelle elle est tout à fait bienvenue !
> Michel, une façade banale hormis quelques éléments récupérés, réintégrés et qui devaient faire parti d'un tout aujourd'hui disparu.
Supprimerdentelle à petits points, délicatesse et fermeté, règle et fantaisie, la pierre sourit
RépondreSupprimer> Brigetoun, le sculpteur n'a pas fait dans la dentelle mis à part le charmant angelot et les feuilles de chêne. Celle intérieure des deux rideaux adoucit heureusement l'ensemble.
SupprimerTout un poème en cette image
RépondreSupprimerDu romantique en toutes matières
De l'esthétique et du rétro.
> Monique, le pinacle si présent fait penser à Viollet-le-Duc et à ce qu'il a rêvé à Pierrefonds...
Supprimerenfin une imposte qui ne se croit pas obligée de vous rappeler l'heure...
RépondreSupprimer> JEA, le lierre symbolise la permanence de la force végétative et la persistance du désir, là où le temps n'a pas prise.
SupprimerImposte qui en impose et ne hante pas, massive mais pas débordante d'artifice, sont ce des flammes qui froncent le sommet du circonflexe bracket
RépondreSupprimerles ouvertures ménagées donnent avec ces barreaux un drôle d'air au logis
pas prison, quand au lierre écartelé il montre à tout le moins que ce n'était pas que de la façade et que dans cette famille non seulement on se multipliait mais en plus on grimpait les marches des honneurs et des charges
éclairés par on ne sait quelle généreuse lumière guidant ce lignage.
Héraldique armoriale qui nous enseigne parfois des traits saisissants
> Thierry, pour une aussi grande famille, la porte est large en conséquence...
Supprimeril ne s'agit pas d'imposteurs et ils n'ont pas fait semblant ni sans glands, sans gant ils eussent apposé non pas l'opposé mais de plus riches figurines, pourtant c'est un logis aimable et prédisposé à l'opulence modeste sans tarir ses secrets et ambitions, qui visait haut dans la convergence et la convection des forces, s'accrochant aux géants pour être aspiré vers le haut
RépondreSupprimer> Thierry, un logis de bonne bourgeoisie balzacienne pour orner la façade de son logis d'une telle ornementation. L'amour et le rameau de chêne sont certes discrets mais le pinacle et ces flammes pérennes le sont bien moins. Jusqu'où se sont élevés les descendants de la maisonnée ?
SupprimerQue de symboles ...de nos jours le proprio ferait partie des taxés à 75%
RépondreSupprimer> Gérard, ce n'est que de la récupération fera-t-il valoir et l'on restera dans les 45 %.
SupprimerParures en fenêtre
RépondreSupprimerTravail de la pierre
témoignage du temps
< Pensées au fil de l'eau, il n'y a pas que la porte ouvragée en cette façade; d'autres élements, des montannts de fenêtres notamment, se trouvent intégrés et donc murées et qui semblent de la même époque. Ici, encore, l'histoire raccommodée, quelques pièces d'un puzzle noyés dans un crépi.
SupprimerDeux yeux maquillés, un regard pour surveiller ...
RépondreSupprimerLa discrétion et la douceur de l'angelot et des feuilles et fruits du chêne en vis-à-vis apportent une touche charmante et légère à l'opulence du cadre.
> Midolu, ces élements ont été le prétexte à la photo.
Supprimerl'huis c'est lui mais il séduit et pour son entourage le décors est chargé mais l'affaire entendue, on s'y presse avec grâce, on s’étouffe devant tant de splendeurs, il y aurait comme du second degré qu'on s'y brulerait les ailes, mais les dentelles pomponnées est si délicate , car c'est du costaud et du moyen âgeux dans l'âme ensuite s'attaquer à cette porte bien remplie
RépondreSupprimern'est pas à la portée de n'importe qui
> Thierry, pour être du costaud, c'est du costaud ! D'ailleurs, c'est bien tout ce qui subsiste de la façade d'origine.
SupprimerLa vieillesse ... les fissures ... Mais, à l'interieur, la délicatesse, la beauté d'une dentelle.
RépondreSupprimerComme tant de gens! C'est ça que cette photo me chuchote à l'oreille
> Neyde, toute façade montre et cache à la fois et préserve la vie privée. Par l'imposte, il nous est donné de rêver et d'imaginer un instant...
SupprimerImposte.. j'aime ce mot imposte? imposture? belle ou sévère souvent sévère (Toulon ville militaire) qui trompe par un aspect qui se place au dessus ... "fausse imposte" là c'est du plus périlleux en tant qu'imposture!!!
RépondreSupprimer> Arlettart, avec l'imposte on se place au-dessus. C'est la partie dormante, supérieure et vitrée, d'une porte pleine et dont le rôle est d'éclairer le couloir sur lequel elle s'ouvre.
SupprimerIl a l'air martial, ce pinacle qui parait surajouté...
RépondreSupprimer> Tilia, non seulement martial mais il s'impose et porte haut la flamme. Un pinacle qui ne me semble pas ajouté vu la nature de la pierre semblable aux autres éléments.
Supprimer