> Maria-d, après les prédateurs, un peu de douceur. Le blanc n'est-il pas symbole de l'innocence, tout au moins en Occident ?
> Arlettart, une fleurette dans la pureté du renouveau, une fleurette printanière.
> M Lecoq, le blanc et le jaune, en balance, au coeur des fleurettes.
> Brigetoun, ouvrant mes persiennes, le matin, ce sont elles que je voyais en premier, souriantes, comme légèrement amidonnées, pimpantes et souriantes.
> Maïté, elles font le dos rond pressées dans leur touffe les unes contre les autres et je parie qu'elles n'aimeront pas être titillée même par une baguette de fée...
> Gérard, coquines, donc, pour aller ainsi conter fleurette.
> Annick, ne faut-il pas mieux montrer et parler des choses simples et belles que de se lamenter sur les misères du monde qui sont grandes. Ne jamais désespérer, tu le sais bien.
Pas question de sonner l'alerte elles sont grandes ouvertes et partagent leur cœur jaune et puis elles sont si proprettes que quand c'est ainsi qu'elles s’apprêtent on fait plus que dresser la tête à leur vue pas de pensée malhonnête
> Thierry, on en ferait volontiers une chansonnette puis dans l'herbe nous ferons des galipettes sans façon, saperlipopette !
> Laurence, et des yeux riants , déjà grands ouverts de bon matin.
Doña Dolorès Primevère, Lady Roxelane Pervenche Un beau dimanche, Montent en haut du belvédère. Rêveuse pervenche, Douce primevère, Radieuse atmosphère.
Robert Desnos
> Tilia, sur le boulier, sans peine, tu aligneras d'abord les unités, puis, en t'appliquant, les dizaines chiffreras, enfin la centaine atteinte, tu auras un joli bouquet.
> Annick, j'ai sous les yeux cette citation de Margaret Storm Jameson que je t'offre en partage:
" Il n'y a qu'un seul instant où vous êtes en vie, cette minute, ici et maintenant."
L'ici et le maintenant, tout le reste n'existe pas.
De retour, je prends comme un accueil ce florilège, ces envolées de fleurs, habitées ou non. Les sourires et le coeur grand ouvert de celles-ci sont ravissants ... Merci. Et bonne soirée ...
L'innocence
RépondreSupprimeren colle Claudine
et bouche en coeur
Instant de fraîcheur dans la beauté pure
RépondreSupprimerde la Fleurette
C'est de l'œuf.
RépondreSupprimerOn s'attache...
dense et coquette
RépondreSupprimersimple et guillerette
sourire au jour
Il faudrait dans leur cachette
RépondreSupprimertaquiner du bout de la baguette
toutes ces malicieuses fleurettes
afin d'avoir la collection complète!
Elles sont bien nettes les fleurettes rondelettes, prêtes à la galipette
RépondreSupprimerÔ JOLI, mais c'est tellement toujours fort beau, ici,
RépondreSupprimermerci pour cette fraîcheur, Pierre,
merci d'avoir déposé tes mots.
> Maria-d, après les prédateurs, un peu de douceur. Le blanc n'est-il pas symbole de l'innocence, tout au moins en Occident ?
RépondreSupprimer> Arlettart, une fleurette dans la pureté du renouveau, une fleurette printanière.
> M Lecoq, le blanc et le jaune, en balance, au coeur des fleurettes.
> Brigetoun, ouvrant mes persiennes, le matin, ce sont elles que je voyais en premier, souriantes, comme légèrement amidonnées, pimpantes et souriantes.
> Maïté, elles font le dos rond pressées dans leur touffe les unes contre les autres et je parie qu'elles n'aimeront pas être titillée même par une baguette de fée...
> Gérard, coquines, donc, pour aller ainsi conter fleurette.
> Annick, ne faut-il pas mieux montrer et parler des choses simples et belles que de se lamenter sur les misères du monde qui sont grandes. Ne jamais désespérer, tu le sais bien.
Pas question de sonner l'alerte
RépondreSupprimerelles sont grandes ouvertes
et partagent leur cœur jaune
et puis elles sont si proprettes
que quand c'est ainsi qu'elles s’apprêtent
on fait plus que dresser la tête
à leur vue pas de pensée malhonnête
tous ces petits yeux sont ravissants !
RépondreSupprimerbisous et bonne soiree Pierre
Compter toutes les jolies fleurettes
RépondreSupprimerde l'image n'est pas chose simplette,
il faut sortir la calculette
et dérouiller la comprenette !
oui, Pierre, je sais...
RépondreSupprimer> Thierry, on en ferait volontiers une chansonnette puis dans l'herbe nous ferons des galipettes sans façon, saperlipopette !
RépondreSupprimer> Laurence, et des yeux riants , déjà grands ouverts de bon matin.
Doña Dolorès Primevère,
Lady Roxelane Pervenche
Un beau dimanche,
Montent en haut du belvédère.
Rêveuse pervenche,
Douce primevère,
Radieuse atmosphère.
Robert Desnos
> Tilia, sur le boulier, sans peine, tu aligneras d'abord les unités, puis, en t'appliquant, les dizaines chiffreras, enfin la centaine atteinte, tu auras un joli bouquet.
> Annick, j'ai sous les yeux cette citation de Margaret Storm Jameson que je t'offre en partage:
" Il n'y a qu'un seul instant où vous êtes en vie, cette minute, ici et maintenant."
L'ici et le maintenant, tout le reste n'existe pas.
>
L'innocence de la beauté ...
RépondreSupprimerDes coeurs délicats
RépondreSupprimerSur parterre de fleurettes
Bonheur partagé
Biseeeeeeeeeeeeeees de Christineeeeeee
> Pat, ne pourrait-on pas également affirmer l'inverse, la beauté de l'innocence ?
RépondreSupprimer> Christineeeee, un déjeuner sur l'herbe
des oeufs durs à la croque-au-sel
un matin de printemps.
De retour, je prends comme un accueil ce florilège, ces envolées de fleurs, habitées ou non.
RépondreSupprimerLes sourires et le coeur grand ouvert de celles-ci sont ravissants ...
Merci. Et bonne soirée ...
> Midolu, chacune se poussant du coude vers le soleil sourit.
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