En plus ces immeubles se trouvent dans une rue piétonne !!! Le rêve vraiment !!! Et les chambres ont une vue sur la mer ? Tout de même pas !!! Bien, on peut toujours rêver !!!!
Chemin faisant Traîner ses pieds sur les pavés Dans cet écrin de ruelles Abandonnées aux piétons S'imprégnant ainsi De la beauté des lieux Dans une flâne paisible.
Sans voitures, les pavés, les façades, et même le ciel sont plus lumineux, et comme lavés, tout propres ! Le soleil passe mieux et peut ainsi caresser à loisir pierres et pavés, qui en sourient d'aise ...
les rues piétonnes au coeur des villes sont des invitations à de très agréables promenades. Un jour peut-être, dans toutes les villes...quand les villes auront retrouvé leur centre.
Imaginer le temps d'autrefois où les calèches passaient, les rues grouillaient de monde avant le soir, puis les réverbères éclairaient gaîment la nuit. Bel espace
La lumière transcende souvent les pierres et les pavés comme la pluie les fait reluire Les pensées qui en découlent sont soumises à la météorologie !!!!!!le romantisme est passé par là Merci pour cette belle promenade "érudite "sans effets
> Tilia, la rue montant et descendant, le preneur d'images, du même point, se retournant.
> Monique, ces rues piétonnes sont une découverte toute récente pour les Orléanais...
> Midolu, sans voitures, les rues plus belles. D'ailleurs elles s'empressent de se refaire une beauté (de façade).
> Lautreje, on devrait également en créer ailleurs que dans les centres historiques de ces ilôts pacifiés.
> Tanette, le ciel hésite et le photographe ne doit pas craindre l'ondée !
> Le Jardin d'aloès, une vielle rue sans façades particulières d'un point de vue architectural mais constituant un bel ensemble après ravalement et nettoyage.
> Philoplume, le défilé folklorique des Fêtes de Jeanne d'Arc (le 8 mai, chaque année) tente de nous la restituer en partie cette vie. Orléans fait alors son cinéma.
> Bernard, depuis que les Orléanais boutèrent l'ennemi d'outre-Manche hors de la ville, ils sont gens aimables et l'injures ne connaissent.
> Arlettart, le chasseur d'images doit aimer tous les ciels et tous les temps. Il doit faire avec et chaque chose prend un ton et un charme différents.
> Laurence, Clermont n'a-t-il pas son quartier piétonnier. Cette ville serait-elle encore plus en retard qu'icelle ?
> Gérard, prends garde de ne te mouiller le bas des chausses en traversant: saute lestement le caniveau du milieu comme au bon vieux temps.
> Jeandler, mon ami, tu as eu le courage de reprendre ta copie. Tu m'étonnes, toi, si peu doué pour la patience ! Parviendra-t-elle à bon port ? Sinon, tu es bon, pour un troisième essai, mais là permets-moi de douter. Merci Blogspot.
> Dominique, un monde trompeur, les piétons semblant aller à la rencontre l'un de l'autre, cependant descendant la rue, allant dans la même direction. Un jeu de miroir décalé.
pierres des murs
RépondreSupprimergalets du sol
en amour
avec la lumière
En plus ces immeubles se trouvent dans une rue piétonne !!! Le rêve vraiment !!! Et les chambres ont une vue sur la mer ? Tout de même pas !!! Bien, on peut toujours rêver !!!!
RépondreSupprimerAu pied des pierres le temps retrouvé
RépondreSupprimer> Brigitte, une promenade douce, les pavés aux pieds sont doux...
RépondreSupprimer> Mathilde, avec vue sur la Loire. La mer n'est qu'à 400 kilomètres.
> Pat, un autre temps, le notre, se mirant dans les temps anciens.
Flâner et rêver
RépondreSupprimerle ciel pardessus les toits
à la mer éternelle
Beau ticket aller-retour
RépondreSupprimerChemin faisant
RépondreSupprimerTraîner ses pieds sur les pavés
Dans cet écrin de ruelles
Abandonnées aux piétons
S'imprégnant ainsi
De la beauté des lieux
Dans une flâne paisible.
Sans voitures, les pavés, les façades, et même le ciel sont plus lumineux, et comme lavés, tout propres !
RépondreSupprimerLe soleil passe mieux et peut ainsi caresser à loisir pierres et pavés, qui en sourient d'aise ...
les rues piétonnes au coeur des villes sont des invitations à de très agréables promenades. Un jour peut-être, dans toutes les villes...quand les villes auront retrouvé leur centre.
RépondreSupprimerSoleil à volonté et coin de ciel bleu que j'envie aujourd'hui, c'est si gris ici....
RépondreSupprimerElle est belle cette rue pavée!! Tu as de la chance pour le soleil!
RépondreSupprimerBonne journée.
Imaginer le temps d'autrefois où les calèches passaient, les rues grouillaient de monde avant le soir, puis les réverbères éclairaient gaîment la nuit. Bel espace
RépondreSupprimerQuel bonheur de pouvoir musarder dans les rues sans avoir à subir klaxons et injures.
RépondreSupprimerLa lumière transcende souvent les pierres et les pavés comme la pluie les fait reluire
RépondreSupprimerLes pensées qui en découlent sont soumises à la météorologie !!!!!!le romantisme est passé par là
Merci pour cette belle promenade "érudite "sans effets
qu'il semble bon de se promener dasn ces rues
RépondreSupprimeroù tout semble si calme ...
et papoter avec notre accompagnateur
les pavés mouillés le soir c'est beau aussi
RépondreSupprimer>> encore une fois, mes réponses se sont perdues !
RépondreSupprimerDésolé
NOUVELLE TENTATIVE!
RépondreSupprimer> Maria, les nuages passent à grandes enjambées.
> Tilia, la rue montant et descendant, le preneur d'images, du même point, se retournant.
> Monique, ces rues piétonnes sont une découverte toute récente pour les Orléanais...
> Midolu, sans voitures, les rues plus belles. D'ailleurs elles s'empressent de se refaire une beauté (de façade).
> Lautreje, on devrait également en créer ailleurs que dans les centres historiques de ces ilôts pacifiés.
> Tanette, le ciel hésite et le photographe ne doit pas craindre l'ondée !
> Le Jardin d'aloès, une vielle rue sans façades particulières d'un point de vue architectural mais constituant un bel ensemble après ravalement et nettoyage.
> Philoplume, le défilé folklorique des Fêtes de Jeanne d'Arc (le 8 mai, chaque année) tente de nous la restituer en partie cette vie. Orléans fait alors son cinéma.
> Bernard, depuis que les Orléanais boutèrent l'ennemi d'outre-Manche hors de la ville, ils sont gens aimables et l'injures ne connaissent.
> Arlettart, le chasseur d'images doit aimer tous les ciels et tous les temps. Il doit faire avec et chaque chose prend un ton et un charme différents.
> Laurence, Clermont n'a-t-il pas son quartier piétonnier. Cette ville serait-elle encore plus en retard qu'icelle ?
> Gérard, prends garde de ne te mouiller le bas des chausses en traversant: saute lestement le caniveau du milieu comme au bon vieux temps.
> Jeandler, mon ami, tu as eu le courage de reprendre ta copie. Tu m'étonnes, toi, si peu doué pour la patience ! Parviendra-t-elle à bon port ? Sinon, tu es bon, pour un troisième essai, mais là permets-moi de douter. Merci Blogspot.
Façades en miroir du soleil : on croit voir ses rayons se battre en duel. Miroir à deux faces !
RépondreSupprimer> Dominique, un monde trompeur,
RépondreSupprimerles piétons semblant aller à la rencontre l'un de l'autre, cependant descendant la rue, allant dans la même direction. Un jeu de miroir décalé.