De propice en précipice je guette les auspices on ne peut que trouver le mitage pas seulement en guise d'hermitage dans ces V caractéristiques une face éclairée d'abord et puis l'autre il n'y a pas que l'incidence rasante qui peut donner de ces lieux des perspectives harassantes les pierriers bien pentus qui le vertige accentuent et le tumulte ancien qui ne rebondit plus qu'en de rares occasions
> Brigitte, confluence crêtes cévenoles de profonds valats.
> Lautreje, une haute vallée encore jeune bien du travail à faire avant que de s'adoucir!
> Thierry, l'eau en ce ravin, si profonde qu'on ne la voit ni l'entend sous les pierres traçant sa voie.
> Maria, nous avons passé le col, quittant la vallée du Bonheur, plutôt plate et sage, et, nous retournant, quelques pas faisant, c'est la fière vallée de l'Hérault que nous contemplons maintenant, versant sud de l'Aigoual.
> Arlettart, rentrant de promenade, c'est toujours un plaisir pour nous, de suivre les jeux de lumière en cette vallée, au soleil couchant.
> Monique, presque dans une orientation Nord-Sud, l'Hérault naissant s'est coulé dans la faille.
> Gérard, la gorge ouverte mais peu accessible et quelle pente, l'Hérault dévalant de près de mille mètres en quatre kilomètres à peine! Tes mollets doivent s'en souvenir puisque tu fis cette grimpette vers l'Aigoual en vélo!
> Danièle, le temps prends bien du plaisir en ces monts, un temps suspendu dans un monde presque vierge!
> Bruno, nous ne manquons jamais de nous arrêter un moment en ces lieux pour jouir du silence et attendre le rayon vert.
Au pied de la lettre, ravin et ravine ne sont pas synonymes. De ravineau, une ravine ravinant peu à peu devient ravinet, pour finir en ravin. Vous êtes ravis de l'apprendre ? Moi aussi ;-)
Bravo Tillia c'est pas étapes graduelles et pas uniquement glissement sémantique, encore qu'on séme antique en matière de reliefs. Dans une ravine on peut être ravi mais dans un ravin on est plus souvent surpris et mal à l'aise.
> Gérard, la route, c'est tout là-haut, le trait sombre dans les arbres, quelques kilomètres encore pour le sommet...
> Laurence, un V qui se comblera et s'aplatira mais dans combien de temps?
> Tilia, plus que ravi, enchanté! Les petits ravineaux font les grands ravins.
> Midolu, c'est le temps qui ici fera le V de la victoire mais il n'y aura plus de ravin!
> Thierry, plus qu'à un glissement sémantique c'est à une dégringolade que tu vas te risquant sur ces pentes mouvantes.
> Bernard, depuis que j'attendais ce moment, je suis tombé à pic pour saisir ce partage!
> Colette, sauvages sont ces pentes et dire qu'au siècle dernier elles étaient nues!
> Neyde, j'aime me recueillir devant cette profonde vallée encore en pleine jeunesse, géologiquement s'entend.
> Sic, monts et merveilles et tout au fond, confluence avec, sur la droite, le valat du Hort de Dieu. Ne sommes-nous pas dans le jardin de Dieu? Mes meilleurs à toi également.
> Naline, pourquoi pas, tu ne serais pas la première que j'attire en ces lieux!
le soleil fait tourner
RépondreSupprimerles montagnes,
creuse vallée,
caresse tendrement
une pente,
diabolise sa voisine
belle ravine
RépondreSupprimercomme je voudrais
que tu sois douce
De propice en précipice
RépondreSupprimerje guette les auspices
on ne peut que trouver le mitage
pas seulement en guise d'hermitage
dans ces V caractéristiques
une face éclairée d'abord et puis l'autre
il n'y a pas que l'incidence rasante
qui peut donner de ces lieux
des perspectives harassantes
les pierriers bien pentus
qui le vertige accentuent
et le tumulte ancien qui ne rebondit plus
qu'en de rares occasions
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerAveugle... je suis
RépondreSupprimerobligée d'emprunter
les routes buissonnières
pour me poser enfin
entre ombre et lumière
et contempler sans fin
la gorge du Bonheur
L'ombre joue dans la nuit inquiétante
RépondreSupprimerEt son amie la lumière brille avec le jour
Ombre et Lumière la part de nous -même
Chemin de lumière
RépondreSupprimerEntre l'adret et l'ubac
Un bel équilibre
Zones d'ombres et de lumières
Dans le courant de la vie.
La nature à gorge déployée
RépondreSupprimerDe vallées en collines
RépondreSupprimerLe temps muse
Entre monts et vallons
Le temps s'amuse
Bonsoir Pierre !
s'assoir...regarder...penser ...
RépondreSupprimer> Brigitte,
RépondreSupprimerconfluence
crêtes cévenoles
de profonds valats.
> Lautreje,
une haute vallée encore jeune
bien du travail à faire
avant que de s'adoucir!
> Thierry, l'eau en ce ravin, si profonde qu'on ne la voit ni l'entend
sous les pierres traçant sa voie.
> Maria, nous avons passé le col, quittant la vallée du Bonheur, plutôt plate et sage, et, nous retournant, quelques pas faisant, c'est la fière vallée de l'Hérault que nous contemplons maintenant, versant sud de l'Aigoual.
> Arlettart, rentrant de promenade, c'est toujours un plaisir pour nous, de suivre les jeux de lumière en cette vallée, au soleil couchant.
> Monique, presque dans une orientation Nord-Sud, l'Hérault naissant s'est coulé dans la faille.
> Gérard, la gorge ouverte mais peu accessible et quelle pente, l'Hérault dévalant de près de mille mètres en quatre kilomètres à peine! Tes mollets doivent s'en souvenir puisque tu fis cette grimpette vers l'Aigoual en vélo!
> Danièle, le temps prends bien du plaisir en ces monts, un temps suspendu dans un monde presque vierge!
> Bruno, nous ne manquons jamais de nous arrêter un moment en ces lieux pour jouir du silence et attendre le rayon vert.
Je l'ai grimpé plusieurs fois à vélo le mont Aigoual, je campé à Valraugues
RépondreSupprimertel un V en grande dimension et profondeur
RépondreSupprimerdevant cet article "ravine" je suis ravie ...
Au pied de la lettre, ravin et ravine ne sont pas synonymes. De ravineau, une ravine ravinant peu à peu devient ravinet, pour finir en ravin.
RépondreSupprimerVous êtes ravis de l'apprendre ? Moi aussi ;-)
Un partage, un V comme un signe de victoire partagée, une union " de fond ".
RépondreSupprimerOu bien un sourire ?
Bravo Tillia c'est pas étapes graduelles et pas uniquement glissement sémantique, encore qu'on séme antique en matière de reliefs.
RépondreSupprimerDans une ravine on peut être ravi mais dans un ravin on est plus souvent surpris et mal à l'aise.
Adret et ubac
RépondreSupprimerLumière en partage
Chemin du bonheur
"s'écoulent" de plus en plus vite, de plus en plus haut suspendus, de plus en plus beaux
RépondreSupprimerLa nature toujours nous emmotionne
RépondreSupprimertoujours nous attire
Devant elle les yeux s'amusent
et l'âme se calme
Versant s’éclaire
RépondreSupprimerRuisseau de solitude
Monts et merveilles
Sic
A la porte d'une nouvelle année,
Voici mes Meilleurs Vœux en toute poésie
Invitation à la balade... j'irais bien là-bas !
RépondreSupprimer> Gérard, la route, c'est tout là-haut, le trait sombre dans les arbres, quelques kilomètres encore pour le sommet...
RépondreSupprimer> Laurence, un V qui se comblera et s'aplatira mais dans combien de temps?
> Tilia, plus que ravi, enchanté! Les petits ravineaux font les grands ravins.
> Midolu, c'est le temps qui ici fera le V de la victoire mais il n'y aura plus de ravin!
> Thierry, plus qu'à un glissement sémantique c'est à une dégringolade que tu vas te risquant sur ces pentes mouvantes.
> Bernard, depuis que j'attendais ce moment, je suis tombé à pic pour saisir ce partage!
> Colette, sauvages sont ces pentes et dire qu'au siècle dernier elles étaient nues!
> Neyde, j'aime me recueillir devant cette profonde vallée encore en pleine jeunesse, géologiquement s'entend.
> Sic, monts et merveilles et tout au fond, confluence avec, sur la droite, le valat du Hort de Dieu. Ne sommes-nous pas dans le jardin de Dieu?
Mes meilleurs à toi également.
> Naline, pourquoi pas, tu ne serais pas la première que j'attire en ces lieux!