bonheur de la lumière (vive le photographe), des perspectives, des quelques chapiteaux historiés (et cette façon merveilleuse toujours de plier formes à celle du support)
Une histoire dont, bien souvent nous avons oublié les sous-titres, mais pour les hommes de l'époque, ces images avaient du sens. Il ne nous en reste que l'esthétique, mais c'est déjà beaucoup.
> Michel, c'est une question que je me suis posé également. Dans l'église elle-même, on trouve encore des traces de polychromie, comme cela était la règle à l'époque. Ici, les restaurateurs de la Tour-porche, lors de la dernière campagne de restauration, n'en font pas mention.
> Midolu, la pierre est aussi fragile que les livres si elles ne sont mises à l'abri des intempéries. Ce qui est la chance des piliers et des chapiteaux intérieurs du porche. Mais ceci n'est pas encore suffisant. Lors de la restauration, nombre de pierres se sont avérées fragilisées par le temps aussi bien celles de l'extérieur que de l'intérieur.
J'avais intitulé un de mes travaux "de la pierre au livre", c'était en fait lire à même la pierre matrice des premiers signes d''écriture gravés, mais l'essence même de la pierre façonnée par le temps, puis par l'homme est par là-même un recueil, une source de connaissance, d'histoire qu'il faut apprendre à lire, ce lieu offre à lui seul un espace merveilleux, un livre ouvert, ouvert à tous, livre d'images et de lumière, d'histoire et de beauté. Vous nous donnez là, Pierre, l'envie d'aller le consulter.
> Monique, avec l'oratoire de Germigny, c'est le lieu le plus visité de la région. Les historiens de l'art dispose ici d'une iconographie unique de l'Art Roman.
Lisons ce livre de pierre pendant les feuilles sont là, unes sur les autres. Beauté partout, envie d'y aller pour savourer ce livre. Les yeux traversent la tour attirés par la lumière de l'autre côté. Très beau, Pierre.
c'est écrit de par tout, les yeux ne savent plus, l'essentiel qui est à lire, alors ils se ferment tendre, et visent un endroit, et la rêverie commence...
> Mémoire du silence, selon les saisons et les heures, de jolis jeux de lumière. Toujours un détail à découvrir. Un silence criant mis qui, aujourd'hui, sait l'entendre ? On peut (on doit) prendre un guide...
> Enitram, "en belles pierres de taille" que Gauzlin choisit et fit venir par bateau du Nivernais voisin. Une base carrée de 17 mètres de côté. Une tour massive, certes, solidement campée sur ses 12 piliers si merveilleusement chapeautés.
Chapeau bas aux bâtisseurs de l'époque !
RépondreSupprimer> Tanette, une belle œuvre, d'autant que l'on ne sait pas à quoi elle pouvait servir dans le domaine de l'Abbaye.
Supprimerbonheur de la lumière (vive le photographe), des perspectives, des quelques chapiteaux historiés (et cette façon merveilleuse toujours de plier formes à celle du support)
RépondreSupprimer> Brigitte Celerier, en cette forêt de piliers, jeux de lumière, matin et soir. Choisir le bon moment.
SupprimerUne histoire dont, bien souvent nous avons oublié les sous-titres, mais pour les hommes de l'époque, ces images avaient du sens. Il ne nous en reste que l'esthétique, mais c'est déjà beaucoup.
RépondreSupprimer> Françoise Dumon, ce qui donne la liberté aux exégètes de donner bien des interprétations possibles sinon plausibles.
SupprimerQuels poids ! Cette multi-tonnes de pierre était-elle polychromée ?
RépondreSupprimer> Michel, c'est une question que je me suis posé également. Dans l'église elle-même, on trouve encore des traces de polychromie, comme cela était la règle à l'époque. Ici, les restaurateurs de la Tour-porche, lors de la dernière campagne de restauration, n'en font pas mention.
SupprimerÀ l'aune du temps passé à les " écrire " n'est-ce pas dans l'ordre des choses que les pages de pierre survivent aux livres ?
RépondreSupprimer> Midolu, la pierre est aussi fragile que les livres si elles ne sont mises à l'abri des intempéries. Ce qui est la chance des piliers et des chapiteaux intérieurs du porche. Mais ceci n'est pas encore suffisant. Lors de la restauration, nombre de pierres se sont avérées fragilisées par le temps aussi bien celles de l'extérieur que de l'intérieur.
Supprimer... aux livres de papier
RépondreSupprimerJ'avais intitulé un de mes travaux "de la pierre au livre", c'était en fait lire à même la pierre matrice des premiers signes d''écriture gravés, mais l'essence même de la pierre façonnée par le temps, puis par l'homme est par là-même un recueil, une source de connaissance, d'histoire qu'il faut apprendre à lire, ce lieu offre à lui seul un espace merveilleux, un livre ouvert, ouvert à tous, livre d'images et de lumière, d'histoire et de beauté. Vous nous donnez là, Pierre, l'envie d'aller le consulter.
RépondreSupprimer> Monique, avec l'oratoire de Germigny, c'est le lieu le plus visité de la région. Les historiens de l'art dispose ici d'une iconographie unique de l'Art Roman.
SupprimerUn livre a chapitres multiples a decrypter. Ici a ciel ouvert, quelle beaute!
RépondreSupprimer> Thérèse, à ciel ouvert ou presque. Ouvert à tous les vents, plutôt.
SupprimerLisons ce livre de pierre pendant les feuilles sont là, unes sur les autres.
RépondreSupprimerBeauté partout, envie d'y aller pour savourer ce livre.
Les yeux traversent la tour attirés par la lumière de l'autre côté.
Très beau, Pierre.
> Neyde, on ne sait où porter son regard surtout un appareil photo en mains ! Un livre des merveilles.
Supprimerc'est écrit de par tout, les yeux ne savent plus,
RépondreSupprimerl'essentiel qui est à lire, alors ils se ferment tendre,
et visent un endroit, et la rêverie commence...
> Annick, difficiles à lire les chapiteaux, écrits en ancien français !
SupprimerEntre ombre et lumière
RépondreSupprimerle silence s'écrie
en la pierre qui s'écrit
très beau
j'aime
> Mémoire du silence, selon les saisons et les heures, de jolis jeux de lumière. Toujours un détail à découvrir. Un silence criant mis qui, aujourd'hui, sait l'entendre ? On peut (on doit) prendre un guide...
SupprimerLe livre de pierre
RépondreSupprimerdélivre des pierres
le message
en images
> Tilia, telle une bande dessinée, tantôt ornementée, tantôt avec un brin de naïveté, selon le ciseau du sculpteur.
SupprimerLe langage des pierres...
RépondreSupprimerJ'aime ces couleurs qui s'harmonisent totalement!
> Enitram, "en belles pierres de taille" que Gauzlin choisit et fit venir par bateau du Nivernais voisin. Une base carrée de 17 mètres de côté. Une tour massive, certes, solidement campée sur ses 12 piliers si merveilleusement chapeautés.
SupprimerEn bel état de conservation.
RépondreSupprimerSaint Martin de nos jours aurait plutôt porté et partagé son imperméable plutôt que son manteau!
> Thérèse, entretenus soigneusement et restaurés magnifiquement en 1996.
Supprimer