les platanes le long des routes : combien de voitures ne s'y sont-elles pas enroulées ? les platanes le long des fleuves, rivières et autres canaux : jamais (à mon humble expérience) une péniche n'alla s'y pendre...
> JEA, aucune à ma connaissance. Sur le quai bordé de ces magnifiques platanes, la vitesse est limitée à 30 km/h et la vue sur le fleuve si belle que l'on n'est guère tenté de filer à toute allure. Quant aux péniches, il y a plus d'un siècle que l'on n'en vit l'ombre d'une.
> Arlettart, et nous ne sommes qu'au second niveau de l'ascension c'est-à-dire environ à trente mètres au dessus du plancher des vaches ! Le pays est plat, pas tout à fait aussi plat que celui du pays de Brel mais pas loin. D'où l'illusion de dominer très loin. La vue s'étend environ 40 km à la ronde...
> Michel, la densité des toits dans la cité historique que nous avons en partie sous les yeux est forte. Le parcellaire est très étroit et les maisons sont restées resserrées les unes contre les autres. D'où la multitude des cheminées.
La beauté donne le vertige davantage que la hauteur : les pinacles se dressent et font barrière pour protéger le spectateur qui montrerait une certaine témérité. Cependant, je ne me pencherais pas trop ...
> Midolu, seulement se pencher sur les choses d'ici-bas, la cité historique presque à nos pieds en sa plus grande partie. Malgré les constructions récentes au premier plan, au détriment de ce qui subsistait de la cité canoniale...
> Rêveuse bleue, une vue que je découvre pratiquement avec vous. Il y a fort peu de temps que l'on accède (partiellement) dans les hauteurs de la cathédrale.
Je découvre avec plaisir cette page qui surplombe une partie d'Orléans entre ses flèches de cathédrale, jolie fenêtre sur ces toits qu'un soleil astique de lumière, toujours agréable de prendre de la hauteur et regarder avec émerveillement ce paysage où la Loire se devine et l'on peut imaginer la couleur de ses eaux au regard du ciel sans nuage : un ruban vermeil qui se faufile discret entre les murs et les arbres de la ville. Au loin se profile cette immense Sologne que j'aime tant, une image qui tient l'affect en éveil.
> Monique, il me restera maintenant à saisir la ville vue d'avion ou d'hélicoptère. Sait-on jamais. À cette occasion, ne pas oublier de prendre son appareil ... photo!
J'aime la photo! Je me suis penchée sur les toits pour deviner les rues et les maisons que tu nous as montrées. Pas facile ça! Ni même Églantine et ses fleurs j'ai réussi a voir! Je regarde les platanes ao bord du fleuve et je me sens là-bas. Avec plaisir je vois l'horizont libre de grattes-ciel, comme si je pouvais voir l'infini. Merci, mon ami Pierre! Grâce à toi je connais Orléans, que habite mon coeur!
> Neyde, vue d'ici, la reconnaissance n'est pas facile et je n'ai pas exploré toutes les rues, ruelles et passages ! Nous tenterons par la suite néanmoins d'en situer quelques unes. Ta dernière remarque me fait le plus grand plaisir. Bien amicalement.
Coucou Jeandler !!! Enfin un commentaire chez toi, il était temps que je le fasse !!! Ce n'est pas faute d'avoir suivi tes dernières publications où je trouve tes photos de plus en plus belles, mais sans prendre le temps de te laisser un petit mot !!! Je sais ce n'est pas gentil, mais je te promets que je vais libérer de la place pour venir te saluer ici à nouveau !!! J'ai du reste enfin répondu à tes deux derniers commentaires, enfin surtout l'avant dernier car le dernier date de tout à l'heure !!! Rires !!!
> Mathilde Primavera, prends ton temps ma belle. J'espère que le blog durera encore un peu de temps. Et la visite n'est pas terminée : nous n'en sommes qu'à la première station.
Ouf, tu me rassures et tu me consoles pour ma négligence à ton égard !!! Tant mieux si le blog n'est pas prêt d'être terminé, il manquerait plus que ça que tu l'arrêtes !!! Je crois rêver !!!
Je suis revenue à cette vue aerienne pour me situer. Il me semble que l'église à gauche c'est l'église de Saint-Aignan, (Approche) C'est vraie? Peu à peu on va apprendre a voir de l'haut la ville d'Orléans!
> Neyde;, bravo, bravissimo ! Il s'agit bien de l'Église Saint-Aignan primitivement dénommée Saint-Pierre-aux-Bœufs, elle-même édifiée sur les ruines d'un temple romain... Et si tu observes attentivement, presque au centre, à la limite de la rangée des platanes, tu devineras un toit en poivrière : il s'agit de la Tour Blanche dont j'ai parlé et qui représente une ancienne tour (remaniée) de l'enceinte du IVè siècle !
> N, à sa base (que l'on ne voit que sur place, évidemment), la belle alternance de briques et pierres typique (3 rangs chaque) des constructions romaines. À bientôt pour la suite de la visite.
> Noushka, tout le plaisir est pour moi. La Loire traversée et voici un coteau qui se présente. Lorsqu'on le pas, nous voici en Sologne si belle en automne...
nos toits se répondent aujourd'hui, des ardoises en pentes marquées aux petites en tuiles canales
RépondreSupprimer> Brigitte Celerier, je viens agréablement de le constater chez toi. ici, nous sommes en pays de l'ardoise ou, au pire, de la tuile plate.
SupprimerUne harmonie qui s'en dégage, avec un bel encadrement.
RépondreSupprimer> Françoise Dumon, pouvais-je rêver plus beau cadre, du haut de la cathédrale ?
Supprimerles platanes le long des routes : combien de voitures ne s'y sont-elles pas enroulées ?
RépondreSupprimerles platanes le long des fleuves, rivières et autres canaux : jamais (à mon humble expérience) une péniche n'alla s'y pendre...
> JEA, aucune à ma connaissance. Sur le quai bordé de ces magnifiques platanes, la vitesse est limitée à 30 km/h et la vue sur le fleuve si belle que l'on n'est guère tenté de filer à toute allure. Quant aux péniches, il y a plus d'un siècle que l'on n'en vit l'ombre d'une.
SupprimerSurvol tel un oiseau
RépondreSupprimerVertige délicieux
> Arlettart, et nous ne sommes qu'au second niveau de l'ascension c'est-à-dire environ à trente mètres au dessus du plancher des vaches ! Le pays est plat, pas tout à fait aussi plat que celui du pays de Brel mais pas loin. D'où l'illusion de dominer très loin. La vue s'étend environ 40 km à la ronde...
SupprimerChem, cheminey... y a du boulot pour les savoyards...
RépondreSupprimeret des gargouilles étonnamment modernes.
> Michel, la densité des toits dans la cité historique que nous avons en partie sous les yeux est forte. Le parcellaire est très étroit et les maisons sont restées resserrées les unes contre les autres. D'où la multitude des cheminées.
SupprimerLa beauté donne le vertige davantage que la hauteur : les pinacles se dressent et font barrière pour protéger le spectateur qui montrerait une certaine témérité.
RépondreSupprimerCependant, je ne me pencherais pas trop ...
> Midolu, seulement se pencher sur les choses d'ici-bas, la cité historique presque à nos pieds en sa plus grande partie. Malgré les constructions récentes au premier plan, au détriment de ce qui subsistait de la cité canoniale...
SupprimerTrès jolie vue...
RépondreSupprimerBisou Pierre
> Rêveuse bleue, une vue que je découvre pratiquement avec vous. Il y a fort peu de temps que l'on accède (partiellement) dans les hauteurs de la cathédrale.
SupprimerJe découvre avec plaisir cette page qui surplombe une partie d'Orléans entre ses flèches de cathédrale, jolie fenêtre sur ces toits qu'un soleil astique de lumière, toujours agréable de prendre de la hauteur et regarder avec émerveillement ce paysage où la Loire se devine et l'on peut imaginer la couleur de ses eaux au regard du ciel sans nuage : un ruban vermeil qui se faufile discret entre les murs et les arbres de la ville. Au loin se profile cette immense Sologne que j'aime tant, une image qui tient l'affect en éveil.
RépondreSupprimer> Monique, il me restera maintenant à saisir la ville vue d'avion ou d'hélicoptère. Sait-on jamais. À cette occasion, ne pas oublier de prendre son appareil ... photo!
SupprimerJe ne vois ni les toits
RépondreSupprimerni le fleuve, ni le sud
ni le soleil d'été
ni même le violon sur le toit
aveugle, aveugle, je suis
Bonne nuit ami
> Mémoire du silence, l'automne est précoce : y aurait-il déjà du brouillard ?
SupprimerAu sommet du temps ... vue sur l'histoire ...
RépondreSupprimer> Pensées au fil de l'eau, au plus creux de l'Histoire, surfer sur les toits, chacun à la sienne.
RépondreSupprimerJ'aime la photo!
RépondreSupprimerJe me suis penchée sur les toits pour deviner les rues et les maisons que tu nous as montrées.
Pas facile ça!
Ni même Églantine et ses fleurs j'ai réussi a voir!
Je regarde les platanes ao bord du fleuve et je me sens là-bas.
Avec plaisir je vois l'horizont libre de grattes-ciel, comme si je pouvais voir l'infini.
Merci, mon ami Pierre! Grâce à toi je connais Orléans, que habite mon coeur!
> Neyde, vue d'ici, la reconnaissance n'est pas facile et je n'ai pas exploré toutes les rues, ruelles et passages ! Nous tenterons par la suite néanmoins d'en situer quelques unes.
SupprimerTa dernière remarque me fait le plus grand plaisir. Bien amicalement.
Une forêt de pinacles
RépondreSupprimerpour entrevoir un sacré spectacle
sans que ce soit une course d'obstacles
les platanes au bord du fleuve
et des toitures qui émeuvent
des pointes qui n'en peuvent
la Sologne droit devant
mais ce n'est pas un paravent
à cette altitude
plein Sud
oui mais sans rosebud
la source n'est pas si lointaine
les toits sous le soleil d'été
l'étroit voile du palais
> Thierry, comme toujours, de la verve pour nous offrir un splendide résumé à cette première note. Seras-tu à la hauteur pour le numéro suivant ?
SupprimerCoucou Jeandler !!! Enfin un commentaire chez toi, il était temps que je le fasse !!! Ce n'est pas faute d'avoir suivi tes dernières publications où je trouve tes photos de plus en plus belles, mais sans prendre le temps de te laisser un petit mot !!! Je sais ce n'est pas gentil, mais je te promets que je vais libérer de la place pour venir te saluer ici à nouveau !!! J'ai du reste enfin répondu à tes deux derniers commentaires, enfin surtout l'avant dernier car le dernier date de tout à l'heure !!! Rires !!!
RépondreSupprimer> Mathilde Primavera, prends ton temps ma belle. J'espère que le blog durera encore un peu de temps. Et la visite n'est pas terminée : nous n'en sommes qu'à la première station.
SupprimerOuf, tu me rassures et tu me consoles pour ma négligence à ton égard !!! Tant mieux si le blog n'est pas prêt d'être terminé, il manquerait plus que ça que tu l'arrêtes !!! Je crois rêver !!!
Supprimer> Mathilde Primavera, sois sans crainte pour le blog tant qu'il aura des lecteurs aussi assidus...
SupprimerJe suis revenue à cette vue aerienne pour me situer.
RépondreSupprimerIl me semble que l'église à gauche c'est l'église de Saint-Aignan, (Approche) C'est vraie?
Peu à peu on va apprendre a voir de l'haut la ville d'Orléans!
> Neyde;, bravo, bravissimo ! Il s'agit bien de l'Église Saint-Aignan primitivement dénommée Saint-Pierre-aux-Bœufs, elle-même édifiée sur les ruines d'un temple romain... Et si tu observes attentivement, presque au centre, à la limite de la rangée des platanes, tu devineras un toit en poivrière : il s'agit de la Tour Blanche dont j'ai parlé et qui représente une ancienne tour (remaniée) de l'enceinte du IVè siècle !
SupprimerMerci pour la précision, Pierre! J'ai bien vu la Tour Blanche!
RépondreSupprimer> N, à sa base (que l'on ne voit que sur place, évidemment), la belle alternance de briques et pierres typique (3 rangs chaque) des constructions romaines. À bientôt pour la suite de la visite.
SupprimerMerci pour ton commentaire chez moi et ravie de découvrir tes belles photos qui me rendent nostalgique de la Sologne!
RépondreSupprimerQuelle vue!
Bonne journée!
> Noushka, tout le plaisir est pour moi. La Loire traversée et voici un coteau qui se présente. Lorsqu'on le pas, nous voici en Sologne si belle en automne...
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