> Pensées au fil de l'eau, on ne peut mieux dire. Le quartier un déshérité en ébullition : transformations, remodelage, les rues reconsidérées, les habitations dépouillées du superflu.
Je trouve ça beau comme ça. La charpente renvoie aux colombages. C'est bizarre d'ailleurs, car les colombes devraient se trouver plus facilement sous les charpentes que dans les colombages... (Il paraît qu'en 1080, "colonne" se dit "columbe"...) Bon, on a vu les poutres chez le voisin, espérons que les rénovations feront long feu (de paille bien sûr).
> Mémoire du silence, les souris ont quitté le navire; le rat de ville chez son camarade est parti à la campagne; et le hibou main dans la main avec la chouette se sont envolés. Le ciel si peu clément ne montre plus les étoiles. La maison décoiffée, la belle endormie logée chez sa cousine, son amoureux éploré.
> Nicole T, ils s'activent, les ouvriers, tous corps de métier confondus. Le travail est immense. Nous le verrons bientôt. Et les amoureux comme les touristes sont fort marris, leur guide inutile à la main qui les égare.Le quartier bouleversé.
> Tania, ce soin dont tu nous crédites est fort récent, en particulier, pour cette vieille ville d'Orléans. Que serions-nous devenus sans Prosper Mérimée ?
Aériennes les lignes et contre -lignes dentelles au gré du vent , une belle image en soi sans précisions techniques Le plaisir du regard J'aime beaucoup cette vision qui soutient la pensée
> merci Neyde de ta fidélité et de ta présence attentive sur ce blog qui se consacre de plus en plus à cette ville qui te reste chère dans tes souvenirs.
digne tu es, mais ton chapeau est parti
RépondreSupprimer> Brigitte, le chapeau envolé, l'ossature à claire-voie.
SupprimerJe suis étonnée, la façade paraît en bon état, aurait-elle été refaite avant le toit ??
RépondreSupprimer> Tanette, une réhabilitation complète, de la cave au grenier. On terminera par la façade.
SupprimerLe visage triste
RépondreSupprimerAttend son heure
Où la providence
> Pensées au fil de l'eau, on ne peut mieux dire. Le quartier un déshérité en ébullition : transformations, remodelage, les rues reconsidérées, les habitations dépouillées du superflu.
Supprimerdes greniers en souffrance ?
RépondreSupprimer> JEA, l'ossature encore bonne, les poutres consolidées, un grand vent de nettoyage.
SupprimerLa partie droite (du toit) (ou politique) est en restauration !!!!
RépondreSupprimer> Gérard, une restauration devenue plus que nécessaire et mise au goût du jour.
SupprimerJe trouve ça beau comme ça. La charpente renvoie aux colombages.
RépondreSupprimerC'est bizarre d'ailleurs, car les colombes devraient se trouver plus facilement sous les charpentes que dans les colombages...
(Il paraît qu'en 1080, "colonne" se dit "columbe"...)
Bon, on a vu les poutres chez le voisin, espérons que les rénovations feront long feu (de paille bien sûr).
> Michel, la charpente s'appuie, en partie, sur le colombage, le prolongeant. Ceci est particulièrement évident au niveau des lucarnes.
SupprimerCalvitie temporaire
RépondreSupprimerla maison en hiver
comme le feuillage
ça coiffure repoussera
> Tilia, radiographie d'un grand corps malade. Le traitement à suivre. Appel aux urgences. tous les corps de métiers alertés.
SupprimerUne belle nuit à compter les étoiles vaut bien un petit courant d'air.
RépondreSupprimer> bernard, même le foin du grenier a été enlevé. Reste-t-il encore le plancher pour s'étendre ?
SupprimerTête nue et triste
RépondreSupprimerPas même une bâche étanche
Elle implore le ciel
> Monique, dressée dans le ciel, cette carcasse nue n'est-elle pas pathétique ?
SupprimerA ciel ouvert
RépondreSupprimersouris hiboux chouettes
à la belle étoile
> Mémoire du silence, les souris ont quitté le navire; le rat de ville chez son camarade est parti à la campagne; et le hibou main dans la main avec la chouette se sont envolés. Le ciel si peu clément ne montre plus les étoiles. La maison décoiffée, la belle endormie logée chez sa cousine, son amoureux éploré.
Supprimeren attendant les amoureux, les ouvriers seront là dans pas longtemps !! ;-)
RépondreSupprimer> Nicole T, ils s'activent, les ouvriers, tous corps de métier confondus. Le travail est immense. Nous le verrons bientôt. Et les amoureux comme les touristes sont fort marris, leur guide inutile à la main qui les égare.Le quartier bouleversé.
SupprimerJ'admire toutes ces "réhabilitations", le soin des Français pour leur patrimoine. A Bruxelles, cela nous manque trop souvent.
RépondreSupprimer> Tania, ce soin dont tu nous crédites est fort récent, en particulier, pour cette vieille ville d'Orléans. Que serions-nous devenus sans Prosper Mérimée ?
SupprimerAériennes les lignes et contre -lignes
RépondreSupprimerdentelles au gré du vent , une belle image en soi sans précisions techniques
Le plaisir du regard
J'aime beaucoup cette vision qui soutient la pensée
> Arlettart, tout l'art de la charpente. Une leçon à ciel ouvert. Asmodée les a toutes décoiffées.
SupprimerJ'ai lu tous les commentaires, toujours très interessants.
RépondreSupprimerJ'ai aimé, particulierement, ta reponse à Memoire du Silence.
> merci Neyde de ta fidélité et de ta présence attentive sur ce blog qui se consacre de plus en plus à cette ville qui te reste chère dans tes souvenirs.
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