Je nommerai cette tour : Dangle. Presque une échauguette (où l'on guette justement). Elle ressemble à s'y méprendre à celles du châtelet du pont St-Bénézet. Nathalie en avait même humanisé une.
> Michel, absolument une échauguette. A l'autre extrémité de la terrasse, à l'angle opposé à cellui-ci, il y en a une seconde. Bien que la guerre de Cent Ans soit finie, on continuait de se méfier et on n'oubliait pas de protéger la personne royale. Tout récemment publiées les échauguettes du Pont Saint-Bénezet. Et comment oublier celle de Nathalie: une petite merveille photographique, tout en ombre et lumière.
Un jour en un autre pays !! j'ai attendu 6 heures de pouvoir passer car mon chemin était plus élevé que celui où le Monarque devait apparaître et c'était de notre temps en un autre lieu
> Arlettart, rien de changé sous le soleil. Et nous ne sommes que sous Louis XI; ce sera bien pis en suivant. L'église est sur légère émminence et d'importants travaux ont été nécessaire pour établir cette terrasse en surplomb du fleuve royal. Un mur de soutènement et défensif, un remblaiement de terre pour égaliser le terrain avant que la cour puisse venir au soleil du midi se prélasser. Mis à part l'édification du séminaire, peu de choses ont changé.
Même impression visuelle qu'Avignon ! j'ai tout de suite pensé aux échauguettes du châtelet du pont St Bénezet, celle de Nathalie les ayant pour ainsi dire immortalisées en personnifiant l'une d'elles. Bien que celle-ci soit plus dégagée de la muraille. Au printemps, la végétation qui la couvre doit la transformer en jardinière de taille... royale !
On retrouve le même genre de terrasse à Blois aux jardins de l'évêché près de l'hôtel de ville, derrière la cathédrale, immense terrasse qui surplombe la ville avec vue sur le fleuve, actuellement certainement envahie de roses. c'est superbe, j'aime de là haut regarder la Loire, comme à Orléans, elle est si belle qu'elle m'émeut toujours.
> Monique, cette terrasse est privée et l'accès non permis. Je connais cette magnifique terrasse de Blois qui elle est ouverte à tous. Il faut dire que la ville et le château en particulier sont édifiés sur une hauteur importante, dénivellé qu'Orléans ne connaît pas en ces proportions. Un simple oppidum quelques dix mètres au-dessu du fleuve à l'origine.
> Mémoire du silence, il fallait être de la suite royale pour accéder à cette terrasse. Et comme toi, six cents ans plus tard, je ne vois rien. Accès non autorisé. Un lieu secret.
> Belle fin de semaine à toi également; un peu de soleil mais le vent est toujours nord et souffle la fraîcheur sur la terrasse (la mienne) avec seulement, elle,la vue sur le jardin.
merci d'être passé, moi aussi fort infidèle aux blogs tout cet hiver si prenant de réel, pour tenter de sauver de l'Humain au max... ELLES SONT BELLES CES PHOTOS! douce soirée.
> Annick, et l'hiver n'est pas encore terminé, je parle de l'hiver météorologique. Il est des choses plus importantes dans la vie pour la maintenir que les blogs... Merci, Annick, de ton passage.
Voilà, je te le disais déjà dans un autre billet, c'est l'endroit que je préfère!!! Et puis regarder les bateaux passer sur le fleuve, le programme me convient à condition qu'il fasse grand' soleil!!!!
> Enitram, d'accord avec toi si le soleil est avec nous. Pour ce qui de la navigation sur le fleuve, elle n'est plus aujourd'hui ce qu'elle était au temps de ce roi ! Ne subsistent plus que des témoins de la Marine de Loire pour amuser les touristes. Et les fêtes de la Loire.
humblement en bas, lever la tête, et regarder, avec vertige
RépondreSupprimer> Brigetoun, à mon grand regret c'est tout ce que l'on peut faire : regarder d'en bas et encore faut-il trouver l'impasse y conduisant.
SupprimerJe nommerai cette tour : Dangle.
RépondreSupprimerPresque une échauguette (où l'on guette justement).
Elle ressemble à s'y méprendre à celles du châtelet du pont St-Bénézet.
Nathalie en avait même humanisé une.
> Michel, absolument une échauguette. A l'autre extrémité de la terrasse, à l'angle opposé à cellui-ci, il y en a une seconde. Bien que la guerre de Cent Ans soit finie, on continuait de se méfier et on n'oubliait pas de protéger la personne royale.
SupprimerTout récemment publiées les échauguettes du Pont Saint-Bénezet. Et comment oublier celle de Nathalie: une petite merveille photographique, tout en ombre et lumière.
La vue d'un roi
RépondreSupprimervue sur la mer
les murs en rempart
> Pensées au fil de l'eau, un roi qui avait de grandes vues et qui a fait la France mais à quel prix !
SupprimerLe roi Grand doit toujours être plus haut ...
RépondreSupprimerUn jour en un autre pays !! j'ai attendu 6 heures de pouvoir passer car mon chemin était plus élevé que celui où le Monarque devait apparaître et c'était de notre temps en un autre lieu
> Arlettart, rien de changé sous le soleil. Et nous ne sommes que sous Louis XI; ce sera bien pis en suivant.
SupprimerL'église est sur légère émminence et d'importants travaux ont été nécessaire pour établir cette terrasse en surplomb du fleuve royal. Un mur de soutènement et défensif, un remblaiement de terre pour égaliser le terrain avant que la cour puisse venir au soleil du midi se prélasser. Mis à part l'édification du séminaire, peu de choses ont changé.
Même impression visuelle qu'Avignon ! j'ai tout de suite pensé aux échauguettes du châtelet du pont St Bénezet, celle de Nathalie les ayant pour ainsi dire immortalisées en personnifiant l'une d'elles. Bien que celle-ci soit plus dégagée de la muraille.
RépondreSupprimerAu printemps, la végétation qui la couvre doit la transformer en jardinière de taille... royale !
> Tilia, espérer quelques giroflées sauvages accrochées à la muraille, comme une note de couleur.
SupprimerOn retrouve le même genre de terrasse à Blois aux jardins de l'évêché près de l'hôtel de ville, derrière la cathédrale, immense terrasse qui surplombe la ville avec vue sur le fleuve, actuellement certainement envahie de roses. c'est superbe, j'aime de là haut regarder la Loire, comme à Orléans, elle est si belle qu'elle m'émeut toujours.
RépondreSupprimer> Monique, cette terrasse est privée et l'accès non permis. Je connais cette magnifique terrasse de Blois qui elle est ouverte à tous. Il faut dire que la ville et le château en particulier sont édifiés sur une hauteur importante, dénivellé qu'Orléans ne connaît pas en ces proportions. Un simple oppidum quelques dix mètres au-dessu du fleuve à l'origine.
Supprimer"une terrasse avec vue sur le fleuve"... et moi qui ne vois rien... "Anne ma soeur Anne, ne vois-tu rien venir ?"
RépondreSupprimerBeau WE cher Pierre
> Mémoire du silence, il fallait être de la suite royale pour accéder à cette terrasse. Et comme toi, six cents ans plus tard, je ne vois rien. Accès non autorisé. Un lieu secret.
Supprimer> Belle fin de semaine à toi également; un peu de soleil mais le vent est toujours nord et souffle la fraîcheur sur la terrasse (la mienne) avec seulement, elle,la vue sur le jardin.
Supprimeret qui terrasse le dragon de service ?
RépondreSupprimer> JEA, les espions du roi pour ne pas dire ses sbires.
Supprimermerci d'être passé,
RépondreSupprimermoi aussi fort infidèle aux blogs tout cet hiver si prenant de réel, pour tenter de sauver de l'Humain au max...
ELLES SONT BELLES CES PHOTOS!
douce soirée.
> Annick, et l'hiver n'est pas encore terminé, je parle de l'hiver météorologique. Il est des choses plus importantes dans la vie pour la maintenir que les blogs...
SupprimerMerci, Annick, de ton passage.
Voilà, je te le disais déjà dans un autre billet, c'est l'endroit que je préfère!!! Et puis regarder les bateaux passer sur le fleuve, le programme me convient à condition qu'il fasse grand' soleil!!!!
RépondreSupprimer> Enitram, d'accord avec toi si le soleil est avec nous. Pour ce qui de la navigation sur le fleuve, elle n'est plus aujourd'hui ce qu'elle était au temps de ce roi ! Ne subsistent plus que des témoins de la Marine de Loire pour amuser les touristes. Et les fêtes de la Loire.
SupprimerSera-t-il que l'âme du roi te regarde pendant la prise des photos?
RépondreSupprimer> Neyde, l'âme de ce roi si dévot mais si peu humain ? Je crains fort qu'elle soit en Enfer et ne puisse me secourir.
SupprimerEncore fallait lever la tête pour voir ces merveilles
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