Témoin vous l'étiez hier d'un passé révolu, aucune place aux sentiments, il faut se rendre...à l'évidence non sans états d'âme. Il y a des retours impossibles, un cliché à ne pas perdre qui reste un maillon visible et irréversible de l'histoire.
> Monique, il n'y a pas grand dommage en cette histoire. Ces cheminées n'étaient pas classées à l'image de celles de Chambord. Ce qui me frappe en cette histoire, c'est que personne (je l'imagine) ne les avait jusqu'alors photographiées, avait porté attention à elles et que passant par-là l'idée m'en fut venue. Et que quelques semaines plus tard, hop, elles se sont volatilisées... comme par magie.
Merci de les garder un peu en mémoire! Ce qui disparait continue à vivre tant que nous y pensons. Elles vivent les cheminées, jouent leur rôle un moment, attirent le regard dans le paysage urbain ou rural, puis, comme pour d'autres éléments de l'architecture, un jour elles disparaissent (nouvelle construction, nouvelles normes, modernité, besoin de place...) A ce propos, est-ce qu'il restera des traces de l'ancien hôpital d'Orléans?
> Cheminezenlair, ce ne sont pas les cheminées qui manquent dans la ville, parfois monumentales, voisinant avec les lucarnes. Se promener le nez en l'air pour s'en régaler.
A l'autre extrémité de la ville, l'ancien Hôpital de la Madeleine va rester en place et devenir un pôle universitaire. De nombreux bâtiments sont classés (en particulier la chapelle, oeuvre de Gabriel) ou inscrits à l'inventaire des Monuments Historiques et ne peuvent être démolis.
Une intuition, un pressentiment, ces coïncidences improbables qui font qu'une empreinte restera. Unique. Merci pour LA photo de cette famille dont les membres ont désormais disparu ...
> Midolu, une dépendance de l'ancienne Ecole d'Artillerie mais dont la fonction du petit bâtiment restera pour moi, inconnue. Ce dimanche, je suis allé faire des photos de l'avancement des démolitions et du vide laissé par les cheminées qui se donnaient la main. Peut-être en reparlerons-nous dans une prochaine note " In memoriam "...
là il y a un juron abominable
RépondreSupprimer> Brigetoun, à ne pas prononcer, il y a peut-être des enfants dans le secteur...
SupprimerUne photo ! Une photo ! Une photo ! Une photo ! Une photo ! Une photo ! Une photo !
RépondreSupprimer> Michel, je me promets de retourner sur les lieux et de prendre des photos mais la poussière est retombée !
Supprimerla parade était pourtant belle. Merci pour le passage chez nous
RépondreSupprimer> Les cafards, sans tambours ni trompettes, les cheminées envolées.
SupprimerTémoin vous l'étiez hier d'un passé révolu, aucune place aux sentiments, il faut se rendre...à l'évidence non sans états d'âme.
RépondreSupprimerIl y a des retours impossibles, un cliché à ne pas perdre qui reste un maillon visible et irréversible de l'histoire.
> Monique, il n'y a pas grand dommage en cette histoire. Ces cheminées n'étaient pas classées à l'image de celles de Chambord. Ce qui me frappe en cette histoire, c'est que personne (je l'imagine) ne les avait jusqu'alors photographiées, avait porté attention à elles et que passant par-là l'idée m'en fut venue. Et que quelques semaines plus tard, hop, elles se sont volatilisées... comme par magie.
SupprimerMerci de les garder un peu en mémoire! Ce qui disparait continue à vivre tant que nous y pensons.
RépondreSupprimerElles vivent les cheminées, jouent leur rôle un moment, attirent le regard dans le paysage urbain ou rural, puis, comme pour d'autres éléments de l'architecture, un jour elles disparaissent (nouvelle construction, nouvelles normes, modernité, besoin de place...)
A ce propos, est-ce qu'il restera des traces de l'ancien hôpital d'Orléans?
> Cheminezenlair, ce ne sont pas les cheminées qui manquent dans la ville, parfois monumentales, voisinant avec les lucarnes. Se promener le nez en l'air pour s'en régaler.
SupprimerA l'autre extrémité de la ville, l'ancien Hôpital de la Madeleine va rester en place et devenir un pôle universitaire. De nombreux bâtiments sont classés (en particulier la chapelle, oeuvre de Gabriel) ou inscrits à l'inventaire des Monuments Historiques et ne peuvent être démolis.
C'est le Père Noël qui devrait donner son avis ?
RépondreSupprimer> JEA, à ce rythme-là, le Père Noël va se retrouver au chômage...
SupprimerRéduites en poudre de cheminette
RépondreSupprimerles pauvrettes !
> Tilia, quel est donc ici le super mage qui de sa baguette magique mène le charivari ?
SupprimerUne intuition, un pressentiment, ces coïncidences improbables qui font qu'une empreinte restera. Unique.
RépondreSupprimerMerci pour LA photo de cette famille dont les membres ont désormais disparu ...
> Midolu, une dépendance de l'ancienne Ecole d'Artillerie mais dont la fonction du petit bâtiment restera pour moi, inconnue. Ce dimanche, je suis allé faire des photos de l'avancement des démolitions et du vide laissé par les cheminées qui se donnaient la main. Peut-être en reparlerons-nous dans une prochaine note " In memoriam "...
SupprimerC'est dommage!
RépondreSupprimer> Neyde, c'est drôle, tout au plus ! Le bâtiment n'avait depuis longtemps plus d'usage, une simple dépendance de l'Ecole.
SupprimerBon mon com s'est envolé !
RépondreSupprimerEnitram, envolé, lui aussi parti en fumée ...
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