ma que grognement carcasse me font contradictoire - ou la vieille habitude de chercher toujours l'opinion inverse pour la peser - pardon, bonjour - aime aussi cette affirmation un peu floue de Sollers
Pas symphonie, pas nymphe aussi ! oui la citation de Sollers prête à interprétation un lac d'amour et des rubans un cordon ombilical moi je préfère le ciel en toi pas comme une limite mais avec des étoiles en prime dans la tête
> Pat, le dernier roman paru, consacré au bonheur que Stendhal a poursuivi toute sa vie.
> ""°o.O Nancy O.o°"", le bonheur après l'averse...
> Brigitte, écartant les feuillages, cherchant un coin de ciel de bleu, le vent aidant.
> Avignon, les yeux grands ouverts...
> Pastelle, bon courage pour tes visites et merci de ton passage ici. L'averse est passée.
> Maria, Michel d'Avignon a les yeux qui s'écarquillent et toi tu ne vois rien! Je suis désolé. Il y a un problème dans ton ordi.
> Thierry, si tu mets le ciel en toi, promesse de bonheur. Un lac d'amour, dis-tu ! Une toute petite flaque comme un éclat de miroir captant l'immensité du ciel.
> Midolu, une petite lucarne où Momo trouvera le bonheur offert généreusement par madame Rosa en partage, un vrai bonheur celui-là. La vie devant soi.
> Gérard, de l'eau et un miroir. Illusions (perdues).
> Maria, aurais-tu retrouvé par magie la vision? Une autre machine, à ton secours, venue ? La surface du miroir s'apaise et laisse entevoir l'infini.
> Tilia, un ciel-de-lit, bien dit, et le soir venu, les étoiles s'y allument. Mais les ardoises de la terrasse qui retiennent un instant l'ondée sont bien dures au dos pour en faire une couche.
> Thierry, l'écoulement se fait mal sur la terrasse au grand bonheur de celui qui prend la photo.
Tes yeux sont des étangs bleus Mes mains ricochent des cygnes Le lac s’entrouve et montre la terre promise. Nous allons l’un vers l’autre. Nous accorderons les arbres avec les branches Les trèfles avec les feuilles Et les étoiles fileront vers la chance.
Libres, nous sommes de nous lier jusqu’à la mort A la vie. Mais nous savons que les enfants sont impatients de grandir Et nous regrettons l’arbre de Noël. Alors la nostalgie a deux grands yeux bleus Qui annoncent l’orage.
Les branches de l'amour embrassent l'espace que reste - t il du murmure des feuilles et du silence de la sève qui bat douloureusement sous la caresse du vent.
> Asiemutée, une toute petite flaque d'esu où seul un moineau pourrait se baigner.
> Tilia, plus doux à mon dos endolori les genêts en ciel de lit.
> Araucaria, la dentelle du feuillage découpé d'un frêne...
> Nina, L'orage annoncé par le poète a fini par passer la montagne et éclater généreusement dans la vallée. Toujours le poème qu'il faut sous la main. Merci Nina.
> Lasiate, que reste-t-il de ce murmures ? Quelques gouttes cristallines qui s'égouttent et se perdent en étoiles dans ce ciel...
> Monique, après la pluie, le beau temps le ciel lavé plus bleu le miroir étincelant
J'aime beaucoup la citation de Sollers
RépondreSupprimer*** Une photo qui inspire l'imagination ... très chouette !!!!! Les mots de Philippe Sollers en plus ... ce n'est que du bonheur ! ***
RépondreSupprimertête renversée
RépondreSupprimeryeux cherchant azur affirmé
à travers ce puits de branches
deviner
brouillage
vertige
perte repère
ma que grognement carcasse me font contradictoire - ou la vieille habitude de chercher toujours l'opinion inverse pour la peser -
RépondreSupprimerpardon, bonjour - aime aussi cette affirmation un peu floue de Sollers
((Ô_Ô))
RépondreSupprimerJ'arrive de la revue de blog de Lautreje.
RépondreSupprimerCa commence bien, photo et citation.
Merci à elle, et je continue ici. :)
Aveugle je suis.
RépondreSupprimerdommage, dommage
Pas symphonie, pas nymphe aussi !
RépondreSupprimeroui la citation de Sollers prête à interprétation
un lac d'amour et des rubans
un cordon ombilical
moi je préfère le ciel en toi
pas comme une limite
mais avec des étoiles en prime dans la tête
Le ciel à l'envers, dans une flaque d'eau ?
RépondreSupprimer" La vie devant soi " ...
B'eau aux yeux de tous ? ce n'est que de l'eau camarade !
RépondreSupprimerTrouée dans l'eau
RépondreSupprimerl'arbre tend ses bras
au ciel
ciel-de-lit sur toit
RépondreSupprimerpour dormir à deux
canopée des bois
bonheur plein les yeux
Averse et reflet
RépondreSupprimerà l'inverse pas replet
le soupir du regard
sans soupirail
> Pat, le dernier roman paru, consacré au bonheur que Stendhal a poursuivi toute sa vie.
RépondreSupprimer> ""°o.O Nancy O.o°"", le bonheur après l'averse...
> Brigitte, écartant les feuillages, cherchant un coin de ciel de bleu, le vent aidant.
> Avignon, les yeux grands ouverts...
> Pastelle, bon courage pour tes visites et merci de ton passage ici. L'averse est passée.
> Maria, Michel d'Avignon a les yeux qui s'écarquillent et toi tu ne vois rien! Je suis désolé. Il y a un problème dans ton ordi.
> Thierry, si tu mets le ciel en toi, promesse de bonheur. Un lac d'amour, dis-tu ! Une toute petite flaque comme un éclat de miroir captant l'immensité du ciel.
> Midolu, une petite lucarne où Momo trouvera le bonheur offert généreusement par madame Rosa en partage, un vrai bonheur celui-là. La vie devant soi.
> Gérard, de l'eau et un miroir. Illusions (perdues).
> Maria, aurais-tu retrouvé par magie la vision? Une autre machine, à ton secours, venue ? La surface du miroir s'apaise et laisse entevoir l'infini.
> Tilia, un ciel-de-lit, bien dit, et le soir venu, les étoiles s'y allument. Mais les ardoises de la terrasse qui retiennent un instant l'ondée sont bien dures au dos pour en faire une couche.
> Thierry, l'écoulement se fait mal sur la terrasse au grand bonheur de celui qui prend la photo.
Joli !!!
RépondreSupprimerTon âme sensible sait si bien saisir leur reflexion ! Je t'envie ... mais ne te jalouse pas ;)
RépondreSupprimerToit de genêts
RépondreSupprimerune chaumière
au bois cachée
aube première
(c'est plus confortable ainsi ?)
Deux belles citations et une superbe photo semblable à une fine dentelle.
RépondreSupprimerMerci Jeandler. Bonne fin d'après-midi.
Tes yeux sont des étangs bleus
RépondreSupprimerMes mains ricochent des cygnes
Le lac s’entrouve et montre la terre promise.
Nous allons l’un vers l’autre.
Nous accorderons les arbres avec les branches
Les trèfles avec les feuilles
Et les étoiles fileront vers la chance.
Libres, nous sommes de nous lier jusqu’à la mort
A la vie.
Mais nous savons que les enfants sont impatients de grandir
Et nous regrettons l’arbre de Noël.
Alors la nostalgie a deux grands yeux bleus
Qui annoncent l’orage.
Yvon Le Men
Les branches de l'amour
RépondreSupprimerembrassent l'espace
que reste - t il
du murmure des feuilles
et du silence de la sève
qui bat douloureusement
sous la caresse du vent.
Juste le temps d'un rêver
RépondreSupprimerFaire naître un paysage
Un miroir d'espoir
> Asiemutée, une toute petite flaque d'esu où seul un moineau pourrait se baigner.
RépondreSupprimer> Tilia, plus doux à mon dos endolori
les genêts en ciel de lit.
> Araucaria, la dentelle du feuillage découpé d'un frêne...
> Nina, L'orage annoncé par le poète a fini par passer la montagne et éclater généreusement dans la vallée.
Toujours le poème qu'il faut sous la main. Merci Nina.
> Lasiate, que reste-t-il de ce murmures ? Quelques gouttes cristallines qui s'égouttent et se perdent en étoiles dans ce ciel...
> Monique, après la pluie, le beau temps
le ciel lavé plus bleu
le miroir étincelant