Dans les jachères, il y a aussi de vrais trésors de beauté et de poésie ... Ici, les " sauvages " sont souvent à l'honneur, et c'est un hommage mérité. Merci, et ... bon retour chez toi, Pierre !
> Brigetoun, comme tu y vas ! Allegro, rien moins. Je vais y penser.
> Pat, pour un nouvel élan, il faut bien prendre ses marques. Pas de faux départ...
> Michel, toi aussi tu veux de la carburation, mettre, dés le départ, le turbo mais sais-tu que je risque de casser la machine? Je n'ai pas une Ferrari !
> Christineeeee, je suis venu chez toi prendre un peu l'air des Cévennes et mettre mes pas dans les tiens à défaut d'y aller. On m'a ramené de là-bas du miel et des oignons et des confitures et de la crème de marron. Que demander de plus ? Les jachères, une vieille pratique culturale qui vaut cent fois mieux avant que d'hypernitrater les terres. Mais voilà, cela demande du temps!
> Tilia, j'ai déjà goûté aux girolles, par deux fois et je sens que les cèpes ne vont pas tarder. J'en ai vu une montagne sur le marché, en bord de Loire, la semaine dernière. Mais je ne me suis pas laissé tenter, préférant les cueillir moi-même. Bonne récolte.
> Nathalie, merci de ton sourire et de ton soleil avignonnais que je retrouve sur ton blog, tout au long des quatre saisons de l'année.
> Arlettart, dans les trous noirs, tout se perd, croit-on, absorbé et digéré, sorte de marmitte de géant où se prépare les potions magiques de demain.
> Midolu, vieille pratique culturale, disais-je plus haut, et que l'Europe remet en honneur mais dans un tout autre but. Encore une chose dévoyée de son sens premier... Les "sauvages ", les " simples ", les herbes folles, quand on ne dit pas d'elles qu'elles sont des " mauvaises herbes " !
Il est bon de se pauser pour se reposer dans l'herbe tendre des prairies, laisser les fleurs sauvages envahir notre espace et le vent faire des vagues sur la mer de nos rêves, écouter la chanson qui parle de bonheur, de beauté, oublier pour un temps l'austère et les contraintes, être bien, prendre son temps, approcher au plus près les petites merveilles de la nature, découvrir et sentir monter en soi la vraie joie qu'un soleil d'été j'espère, vous aura aidé à trouver.
> Monique, un soleil qui s'est fait un peu désirer mais tout de même suffisant pour profiter au mieux des ces longs jours d'été.
> Gérard Méry, on en voit aux bords des routes de ces jachères fleuries et parfois dans les jardins pour donner une impression de sauvage.
> Mémoire du silence, voici qui est charmant et vous permet de reprendre avec le sourire le fil des jours. Merci.
> Lautreje, tois ans, je crois, au minimum dans la France ci-devant rurale. Une pratique vieille comme le monde mais sans effet ici. Et comment imaginer un blog en friche pendant trois ans !
absence n'est pas abstinence l'amour des grands espaces n'est pas de ceux qui lassent et le retour après l'errance ne signe pas l'abandon de poste mais le don des coms à venir
merci pierre de nous accueillir chez toi de nouveau et merci de ton hospitalité joviale et souriante
Assolement, ah si seulement, nous nous sommes sentis seuls, sans toi, mais il n'y avait pas de doute , tu allais revenir, pas triennal, et ce repos estival, pendant que tu étais pas monts et par vaux, donnerait plus de saveur encore à ce retour annoncé, amendement, dopés par de nouvelles perspectives, de nouveaux semis étaient en préparation, de larges sillons restaient à tracer, ta plume serait un soc et nous attendions juste la voie, rectitude et profondeur, pour jeter chacun des graines .
> Thierry, pas d'abandon de poste, rassure-toi même si le retour se fait à pas comptés.
> Nicolas Bleusher, en ma retraite, hélas, les champs rétrécissent à vue d'oeil. Ma campagne n'est plus un lieu de ressourcement. La ville, telle une pieuvre, tentaculaire, étend ses bras et digère et la terre et les gens.
> Ulysse, l'imagination, même si elle fût un temps au pouvoir, a besoin de quelque repos. Alors, imagine !
> Thierry, par monts et par vaux, comme j'aurais aimé l'être! Les voyages maintiennent la jeunesse en émoi et les graines pour moi, en terrain emblavé, furent jetées. Elles poussent, elles grandissent, les jeunes tiges mais ce n'est plus pour moi de raison. A d'autres le flambeau...
et allegro qui ne demande qu'à devenir vivace pour les lecteurs
RépondreSupprimerPour un nouvel elan...
RépondreSupprimerAllez, fait fumer !
RépondreSupprimerMais voyons jeandler.... après une jachère, les cultures n'en sont que meilleures !
RépondreSupprimerJe suis sûre que les idées vont ainsi germer... comme par enchantement !
Biseeeeeeeeees de Christineeeee
PS/ Merci pour tes petits com sur Valleraugue : on a eu un temps superbe !
La saison des champignons est arrivée
RépondreSupprimerils ne vont pas tarder à se montrer
dans les bois et dans les prés.
Contente de te retrouver
Welcome back !
RépondreSupprimerLe trou noir des constellations qui ne l'a frôlé un jour
RépondreSupprimerEt la naissance d'une nouvelle étoile ....
Bienvenue chez vous Ami des mots et des images
Dans les jachères, il y a aussi de vrais trésors de beauté et de poésie ...
RépondreSupprimerIci, les " sauvages " sont souvent à l'honneur, et c'est un hommage mérité.
Merci, et ... bon retour chez toi, Pierre !
> Brigetoun, comme tu y vas ! Allegro, rien moins. Je vais y penser.
RépondreSupprimer> Pat, pour un nouvel élan, il faut bien prendre ses marques. Pas de faux départ...
> Michel, toi aussi tu veux de la carburation, mettre, dés le départ, le turbo mais sais-tu que je risque de casser la machine? Je n'ai pas une Ferrari !
> Christineeeee, je suis venu chez toi prendre un peu l'air des Cévennes et mettre mes pas dans les tiens à défaut d'y aller. On m'a ramené de là-bas du miel et des oignons et des confitures et de la crème de marron. Que demander de plus ?
Les jachères, une vieille pratique culturale qui vaut cent fois mieux avant que d'hypernitrater les terres. Mais voilà, cela demande du temps!
> Tilia, j'ai déjà goûté aux girolles, par deux fois et je sens que les cèpes ne vont pas tarder. J'en ai vu une montagne sur le marché, en bord de Loire, la semaine dernière. Mais je ne me suis pas laissé tenter, préférant les cueillir moi-même. Bonne récolte.
> Nathalie, merci de ton sourire et de ton soleil avignonnais que je retrouve sur ton blog, tout au long des quatre saisons de l'année.
> Arlettart, dans les trous noirs, tout se perd, croit-on, absorbé et digéré, sorte de marmitte de géant où se prépare les potions magiques de demain.
> Midolu, vieille pratique culturale, disais-je plus haut, et que l'Europe remet en honneur mais dans un tout autre but. Encore une chose dévoyée de son sens premier...
Les "sauvages ", les " simples ", les herbes folles, quand on ne dit pas d'elles qu'elles sont des " mauvaises herbes " !
Il est bon de se pauser pour se reposer dans l'herbe tendre des prairies, laisser les fleurs sauvages envahir notre espace et le vent faire des vagues sur la mer de nos rêves, écouter la chanson qui parle de bonheur, de beauté, oublier pour un temps l'austère et les contraintes, être bien, prendre son temps, approcher au plus près les petites merveilles de la nature, découvrir et sentir monter en soi la vraie joie qu'un soleil d'été j'espère, vous aura aidé à trouver.
RépondreSupprimerNe t'inquiète pas les jachères sont souvent belles et fleuries
RépondreSupprimerma anche alegro ma non tropo
RépondreSupprimerhttp://www.youtube.com/watch?v=MXm9SyD1Oos
@+
la jachère a toujours été une bonne chose pour la terre, elle est beaucoup plus généreuse ensuite !
RépondreSupprimer> Monique, un soleil qui s'est fait un peu désirer mais tout de même suffisant pour profiter au mieux des ces longs jours d'été.
RépondreSupprimer> Gérard Méry, on en voit aux bords des routes de ces jachères fleuries et parfois dans les jardins pour donner une impression de sauvage.
> Mémoire du silence, voici qui est charmant et vous permet de reprendre avec le sourire le fil des jours. Merci.
> Lautreje, tois ans, je crois, au minimum dans la France ci-devant rurale. Une pratique vieille comme le monde mais sans effet ici. Et comment imaginer un blog en friche pendant trois ans !
absence n'est pas abstinence
RépondreSupprimerl'amour des grands espaces
n'est pas de ceux qui lassent
et le retour après l'errance
ne signe pas l'abandon de poste
mais le don des coms à venir
merci pierre de nous accueillir chez toi de nouveau et merci de ton hospitalité joviale et souriante
A toi les champs, à moi les jardins : l'important étant, peut-être, de trouver un endroit, son endroit. En moi, je ne me sentais plus bien....
RépondreSupprimerPierre, enfin un espoir de te voir revenir....l'or de l'automne, j'en suis sûr, illuminera ton imagination.
RépondreSupprimerAssolement, ah si seulement, nous nous sommes sentis seuls, sans toi, mais il n'y avait pas de doute , tu allais revenir, pas triennal, et ce repos estival, pendant que tu étais pas monts et par vaux, donnerait plus de saveur encore à ce retour annoncé, amendement, dopés par de nouvelles perspectives, de nouveaux semis étaient en préparation, de larges sillons restaient à tracer, ta plume serait un soc et nous attendions juste la voie, rectitude et profondeur, pour jeter chacun des graines .
RépondreSupprimer> Thierry, pas d'abandon de poste, rassure-toi même si le retour se fait à pas comptés.
RépondreSupprimer> Nicolas Bleusher, en ma retraite, hélas, les champs rétrécissent à vue d'oeil. Ma campagne n'est plus un lieu de ressourcement. La ville, telle une pieuvre, tentaculaire, étend ses bras et digère et la terre et les gens.
> Ulysse, l'imagination, même si elle fût un temps au pouvoir, a besoin de quelque repos. Alors, imagine !
> Thierry, par monts et par vaux, comme j'aurais aimé l'être! Les voyages maintiennent la jeunesse en émoi et les graines pour moi, en terrain emblavé, furent jetées. Elles poussent, elles grandissent, les jeunes tiges mais ce n'est plus pour moi de raison. A d'autres le flambeau...