> Brigitte, réimplantée, sans aucun doute, relevée par des âmes charitables.
> ""°o.O Nancy O.o)"", l'histoire n'était pas encore écrite, que dis-je, pas encore inventée...
> Cher Arthur, c'est un grand honneur pour moi de trouver ici, de par delà l'espace, ta signature. C'est le même, de face et de profil, comme pour une fiche signalétique, message indéchiffré venu d'une Odyssée commençant à peine.
> Tilia, une pierre telle un phare en cette étendue steppique. Mais le paysage d'alors était-il semblable à celui que nous voyons aujourd'hui ?
> A vos couleurs, merci de la visite, cherchant quelque inspiration pour donner vie à tes crayons ? Le Causse, au printemps, est riche de couleurs mais en cette saison le thym est sec et seuls les chardons bleus l'égaient.
> Thierry, à l'été prochain, j'envisagerai la question de la vue de dessus. Peut-on parler d'une civilsation mégalithique ? Ici, une chose certaine, c'est que ces pierres lévées le furent plus tardivement que dans les régions atlantiques européennes. Un mégalithique tardif, donc. Les pierres ornées sont rencontrées çà et là. Voir quelques informations ici: http://www.culture.gouv.fr/fr/arcnat/megalithes/fr/art/artrep.htm
Men hir n'est pas uniquement d'Armor né au lithique il n'est pas rachitique et s'il ne s'agit pas d'héraldique pour déchiffrer les rares pétroglyphes a t il choisi son lieu pour être bien visible ?
> Thierry, bien sûr que la pierre fichée n'est pas uniquement d' Armor mais ce sont les Bretons qui lui ont donné, semble-t-il, leur nom qu'il faut rapprocher d'un autre mot celtique : " peulven " ou " peulvan ", pieu de pierre.
> Tilia, ton lien est tout à fait pertinent. Ce menhir se dresse dans la plaine du Coulet, dans l'Hérault. Il faut donc le rapprocher de ceux-ci : http://dolmen2.free.fr/crbst_6.html sous lequel il est d'ailleurs répertorié.
Un rostre, une crosse fiérement dressée patiemment érigée et qui s'est figée un pieu minéral qui nous rapproche du pieux un point singulier qui appelle le pluriel une aiguille sans cadran mais pointée vers l'en haut une dent de la hune qui donne des appétits d'espace une virgule sommitale dont seule l'ombre s'étale un grand point d'interrogation qui sculpte le silence un édicule qui recule nos horizons pré-historiques mais qui laisse de quoi appuyer le temps le temps d'un bref repos
"Ton" menhir est même deux fois présent sur la page que tu m'as indiquée en lien ! Une chose m'interpelle : il semble qu'à l'époque de ces photos il y avait plus de végétation dans cette plaine du Coulet, notamment un arbre de belle allure auprès de "ta" pierre. Le feu serait-il passé par là entre temps ?
> Maria, on se pose la question. Sont-ils pierres taillées (sculptées) ou simplement retouchées ? Monolithe, de toute manière.
> Gérard, fin de l'âge du bronze, plus de quatre mille ans!
> Monique, merci de ces deux beaux et courts poèmes de Poullaouec, artisan des haîkus des pierres. Je pense reprendre l'un d'eux, avec ta permission, pour une de mes notes prochaines.
> Pat, si les pierres m'étaient contées... Toute une histoire restée dans les limbes.
> Brigitte Maillard, ce n'est qu'au cours du temps qu'elle vient à pencher, voire, tomber. Son destin de pierre longue est d'être toujours debout.
> Le Jardin d'aloès, un message des temps anciens dont la langue est perdue ...
> Thierry, un repère du temps figé, déboussolé, face au vent et à la solitude. Peut-être que cette figure rostrale, par nuit de pleine lune, parle-t-elle tentant le dialogue avec les dieux, morts eux-aussi, abandonnés de ceux qui les ont fait naître et qui, pour un court instant, hantent les lieux redescendus de leur Walhalla.
> Midolu, un monolithe également que l'obélisque mais là, on connaît l'histoire. Elle y est écrite.
> Christineeeee, Obélix chez les Egyptiens après avoir planté bien des menhirs... Cyrano? Un mythe lunaire? Pourquoi pas. Personne ne nous contredira, je l'espère.
> Tilia, tu l'as reconnu. Ils ont tous une " personnalité " qui les fait reconnaître de loin... Mes images datent du mois d'août dernier. Ce n'est pas la meilleure époque pour la végétation: elle est alors plutôt rase et sèche. On ne connaît pas la date de prise des photos du dossier. Le feu n'est pas à exclure mais n'ai remarqué aucune trace.
Quand le rostre tend "c'est un pic, c'est un cap, c'est un promontoire que dis je, c'est une péninsule !" Pris à pic ou priapique, quelle mouche l'a donc piqué pour que cette érection demeure?
> Thierry, faut-il songer à un culte dionysiaque avant l'heure, un repère pour bacchanale ? C'est que le vin ne devait pas encore couler en ces lieux. Noé est encore loin sur le chemin du déluge. Le lait de chèvre ou de brebis, sans aucun doute, était au rendez-vous mais ce sont breuvages de peu d'euphorie que je sache.
Sans problème pour un poème de Jacques Poullaouec J'ai découvert ce poète à Carnac dans un très beau livre Haïku des pierres Carnac aux éditions Apogée avec des photographies magnifiques de Pierre Converset.
Cher Pierre c'était par un raisonnement simpliste et ludique pas solidement étayé par de telles considérations, mais si l'alcool manquait, encore que la bière ait été brassée à partir de la domestication des graminées et que celle ci est nettement plus ancienne sur le plateau d'Anatolie. Pris à mon propre piége de jouer avec les mots, j'aurais bien repris ce que dit le canard à ceux qui s'avancent à découvert sans protéger leurs arrières "pan sur le bec" et puis flute aussi sans doute mais je me dis seulement que les alcaloïdes et autres substances psychotropes devaient déjà pousser et que la tradition chamanique développée au néolithique a du bien profiter de certains de ces produits et qu'à défaut d'ivresse ils ont eu l'ivraie ! Quant au haïkou des pierres ils ont provoquer quelques étincelles, mais le génie des hommes commence bien quelque part .
> Thierry, je crois que ces hommes parvenus en ces lieux savaient bien des choses déjà et que leurs comportements étaient en tout point semblable aux nôtres. Peut-on raisonnablement parler d'évolution sur le chemin de l'humanisation ? Un pas de plus, et le tour était joué. Y en aura-t-il un prochain?
L'archéologie préhistorique nous réserve encore bien des surprises et je n'en suis pas encore revenu de ces découvertes en Créte qui accréditent l'idée de traversées maritimes très précoces mais aussi d'un langage déjà évolué, et on parle de - 130000 ans au moins, ça nous éloigne largement du néolithique et devrait nous amener à complétement revoir nos idées sur le stade d'évolution de ces hommes là.
Thierry, les préhistoriens reculent chaque jours les limites du pensable et nous montrent la montée en flèche de cette curieuse espèce qui marche sur deux pattes et façonne à la main des outils et à laquelle nous appartenons. La mondialisation,tant décriée au vu des formes que nous en connaissons aujourd'hui, ne commence-t-elle pas ici même, s'exprimant dans cette conquête de tous les continents ?
Monique, c'est une vaste question que cette recherche de nos origines qui nous turlupinent tous...
Naline, des lumières et beaucoup d'ombres.
Colette, ce redressement, cette bipédie vraie, semble s'être effectuée d'un bond, spécialisant les mains, les dégageant d'autres fonctions en même temps que les commandes afférentes du cerveau...
Nina, bonne année à toi et heureux de retrouver ici après une aussi longue absence. De nouvelles occasions de nous croiser...
présence massive
RépondreSupprimerenracinée,
grosse de cet élan
qui s'y cache
*** Ah ! s'ils pouvaient nous raconter tout ce dont ils ont été témoins !!! :o)
RépondreSupprimerMERCI pour ces belles photos ! Bonne fin de semaine à toi !!! :o) ***
Oufti ! C'est l'même ou y sont plusieurs ?
RépondreSupprimerÇà fait du son ?
T'as essayé de lancer un os en l'air ?
> Brigitte, réimplantée, sans aucun doute, relevée par des âmes charitables.
RépondreSupprimer> ""°o.O Nancy O.o)"", l'histoire n'était pas encore écrite, que dis-je, pas encore inventée...
> Cher Arthur, c'est un grand honneur pour moi de trouver ici, de par delà l'espace, ta signature. C'est le même, de face et de profil, comme pour une fiche signalétique, message indéchiffré venu d'une Odyssée commençant à peine.
Ar-Men... un phare, mais où sont les navires ?
RépondreSupprimerun pasteur alors, mais où sont ses moutons ?
quoi qu'il en soit, il veille...
Une pierre qui s'élève vers le ciel, symbole muet oui, qui garde ses secrets.
RépondreSupprimerPlaisir de découvrir votre blog.
Enfichée sur un socle
RépondreSupprimerou taillée dans la masse
elle n'amasse pas mousse
mais de longues trainées
l'éclaboussent
il manque juste la vue de dessus !
N'y a t il pas de nombreux mégalithes ornée
en Aveyron ? je crois avoir lu un article
sur un paysan archéologue qui a développé
une compétence unique.
> Tilia, une pierre telle un phare en cette étendue steppique. Mais le paysage d'alors était-il semblable à celui que nous voyons aujourd'hui ?
RépondreSupprimer> A vos couleurs, merci de la visite, cherchant quelque inspiration pour donner vie à tes crayons ? Le Causse, au printemps, est riche de couleurs mais en cette saison le thym est sec et seuls les chardons bleus l'égaient.
> Thierry, à l'été prochain, j'envisagerai la question de la vue de dessus.
Peut-on parler d'une civilsation mégalithique ? Ici, une chose certaine, c'est que ces pierres lévées le furent plus tardivement que dans les régions atlantiques européennes. Un mégalithique tardif, donc.
Les pierres ornées sont rencontrées çà et là. Voir quelques informations ici:
http://www.culture.gouv.fr/fr/arcnat/megalithes/fr/art/artrep.htm
Men hir n'est pas uniquement d'Armor
RépondreSupprimerné au lithique il n'est pas rachitique
et s'il ne s'agit pas d'héraldique
pour déchiffrer les rares pétroglyphes
a t il choisi son lieu pour être bien visible ?
Après avoir consulté le lien que tu indiques à Thierry, il me semble pertinent d'indiquer celui-ci en complément.
RépondreSupprimer> Thierry, bien sûr que la pierre fichée n'est pas uniquement d' Armor mais ce sont les Bretons qui lui ont donné, semble-t-il, leur nom qu'il faut rapprocher d'un autre mot celtique : " peulven " ou " peulvan ", pieu de pierre.
RépondreSupprimer> Tilia, ton lien est tout à fait pertinent. Ce menhir se dresse dans la plaine du Coulet, dans l'Hérault. Il faut donc le rapprocher de ceux-ci :
http://dolmen2.free.fr/crbst_6.html
sous lequel il est d'ailleurs répertorié.
Taillé comme un roc
RépondreSupprimerface au ciel
affrontant les dieux
Ta découverte n'indique pas l'âge de Pierre
RépondreSupprimer"témoins de la première architecture monumentale du monde..." Yves Coppens
RépondreSupprimer"Effaceuse de mots
La pierre garde en mémoire
Les gestes ancestraux" Jacques Poullaouec
...et ce haïku parce que je l'aime bien et j'y pense chaque fois que je vois une pierre levée :
"Rêve de la pierre
S'allonger dans l'herbe
Et regarder les étoiles" Jacques Poullaouec
Ombre du temps
RépondreSupprimermémoire des pierres
toujours cette profondeur de la pierre levée qui me redresse quand je la regarde merci Pierre
RépondreSupprimerTRès beau message!
RépondreSupprimerPasse un très bon week-end.
Un rostre, une crosse fiérement dressée
RépondreSupprimerpatiemment érigée et qui s'est figée
un pieu minéral qui nous rapproche du pieux
un point singulier qui appelle le pluriel
une aiguille sans cadran mais pointée vers l'en haut
une dent de la hune qui donne des appétits d'espace
une virgule sommitale dont seule l'ombre s'étale
un grand point d'interrogation qui sculpte le silence
un édicule qui recule nos horizons pré-historiques mais qui laisse de quoi appuyer le temps le temps d'un bref repos
Un appel à l'obélisque de Louxor en exil ...
RépondreSupprimerEn passant, merci à Monique pour
" Rêve de la pierre
S'allonger dans l'herbe
Et regarder les étoiles "
(Jacques Poullaouec)
Et merci à toi, Pierre, pour tout.
De deux choses l'une :
RépondreSupprimerOu bien Obélix a encore perdu son menhir...
Ou bien Cyrano de Bergerac a de nouveau laissé traîner son nez !
Biseeeeeeeeeeeees de Christineeeeee
"Ton" menhir est même deux fois présent sur la page que tu m'as indiquée en lien ! Une chose m'interpelle : il semble qu'à l'époque de ces photos il y avait plus de végétation dans cette plaine du Coulet, notamment un arbre de belle allure auprès de "ta" pierre. Le feu serait-il passé par là entre temps ?
RépondreSupprimer> Maria, on se pose la question. Sont-ils pierres taillées (sculptées) ou simplement retouchées ? Monolithe, de toute manière.
RépondreSupprimer> Gérard, fin de l'âge du bronze, plus de quatre mille ans!
> Monique, merci de ces deux beaux et courts poèmes de Poullaouec, artisan des haîkus des pierres. Je pense reprendre l'un d'eux, avec ta permission, pour une de mes notes prochaines.
> Pat, si les pierres m'étaient contées... Toute une histoire restée dans les limbes.
> Brigitte Maillard, ce n'est qu'au cours du temps qu'elle vient à pencher, voire, tomber. Son destin de pierre longue est d'être toujours debout.
> Le Jardin d'aloès, un message des temps anciens dont la langue est perdue ...
> Thierry, un repère du temps figé, déboussolé, face au vent et à la solitude. Peut-être que cette figure rostrale, par nuit de pleine lune, parle-t-elle tentant le dialogue avec les dieux, morts eux-aussi, abandonnés de ceux qui les ont fait naître et qui, pour un court instant, hantent les lieux redescendus de leur Walhalla.
> Midolu, un monolithe également que l'obélisque mais là, on connaît l'histoire. Elle y est écrite.
> Christineeeee, Obélix chez les Egyptiens après avoir planté bien des menhirs... Cyrano? Un mythe lunaire? Pourquoi pas. Personne ne nous contredira, je l'espère.
> Tilia, tu l'as reconnu. Ils ont tous une " personnalité " qui les fait reconnaître de loin... Mes images datent du mois d'août dernier. Ce n'est pas la meilleure époque pour la végétation: elle est alors plutôt rase et sèche. On ne connaît pas la date de prise des photos du dossier. Le feu n'est pas à exclure mais n'ai remarqué aucune trace.
Quand le rostre tend
RépondreSupprimer"c'est un pic, c'est un cap, c'est un promontoire
que dis je, c'est une péninsule !"
Pris à pic ou priapique, quelle mouche l'a donc piqué pour que cette érection demeure?
> Thierry, faut-il songer à un culte dionysiaque avant l'heure, un repère pour bacchanale ? C'est que le vin ne devait pas encore couler en ces lieux. Noé est encore loin sur le chemin du déluge. Le lait de chèvre ou de brebis, sans aucun doute, était au rendez-vous mais ce sont breuvages de peu d'euphorie que je sache.
RépondreSupprimerSans problème pour un poème de Jacques Poullaouec J'ai découvert ce poète à Carnac dans un très beau livre Haïku des pierres Carnac aux éditions Apogée avec des photographies magnifiques de Pierre Converset.
RépondreSupprimerCher Pierre c'était par un raisonnement simpliste et ludique pas solidement étayé par de telles considérations, mais si l'alcool manquait, encore que la bière ait été brassée à partir de la domestication des graminées et que celle ci est nettement plus ancienne sur le plateau d'Anatolie. Pris à mon propre piége de jouer avec les mots, j'aurais bien repris ce que dit le canard à ceux qui s'avancent à découvert sans protéger leurs arrières "pan sur le bec" et puis flute aussi sans doute mais je me dis seulement que les alcaloïdes et autres substances psychotropes devaient déjà pousser et que la tradition chamanique développée au néolithique a du bien profiter de certains de ces produits et qu'à défaut d'ivresse ils ont eu l'ivraie !
RépondreSupprimerQuant au haïkou des pierres ils ont provoquer quelques étincelles, mais le génie des hommes commence bien quelque part .
> Thierry, je crois que ces hommes parvenus en ces lieux savaient bien des choses déjà et que leurs comportements étaient en tout point semblable aux nôtres. Peut-on raisonnablement parler d'évolution sur le chemin de l'humanisation ? Un pas de plus, et le tour était joué. Y en aura-t-il un prochain?
RépondreSupprimerL'archéologie préhistorique nous réserve encore bien des surprises et je n'en suis pas encore revenu de ces découvertes en Créte qui accréditent l'idée de traversées maritimes très précoces mais aussi d'un langage déjà évolué, et on parle de - 130000 ans au moins, ça nous éloigne largement du néolithique et devrait nous amener à complétement revoir nos idées sur le stade d'évolution de ces hommes là.
RépondreSupprimerVoilà entre Pierre et Thierry des échanges bien passionnants et qui donnent à réfléchir...et remet en cause notre façon de penser.
RépondreSupprimerVestige, témoin, histoire, souvenir...
RépondreSupprimerpierre levée
RépondreSupprimerpeuple droit
tête levée
je découvre avec bonheur tes deux nouvelles demeures Pierre,et quelle beauté en images et mots. Bonne année à toi aussi et @bientôt ici et ailleurs !
RépondreSupprimerThierry, les préhistoriens reculent chaque jours les limites du pensable et nous montrent la montée en flèche de cette curieuse espèce qui marche sur deux pattes et façonne à la main des outils et à laquelle nous appartenons. La mondialisation,tant décriée au vu des formes que nous en connaissons aujourd'hui, ne commence-t-elle pas ici même, s'exprimant dans cette conquête de tous les continents ?
RépondreSupprimerMonique, c'est une vaste question que cette recherche de nos origines qui nous turlupinent tous...
Naline, des lumières et beaucoup d'ombres.
Colette, ce redressement, cette bipédie vraie, semble s'être effectuée d'un bond, spécialisant les mains, les dégageant d'autres fonctions en même temps que les commandes afférentes du cerveau...
Nina, bonne année à toi et heureux de retrouver ici après une aussi longue absence. De nouvelles occasions de nous croiser...
:*:*:*:*: Hello ! Je te souhaite un bon lundi ! GROS BISOUS !!!! :o) :*:*:*:*:
RépondreSupprimerOn aurait pu faire un trackback entre les deux blogs, mais ça n'existe plus ...
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