S'engager dans l'étroite rue Coligny, un peu tortueuse en descendant
À gauche, si le portail est ouvert, jeter un coup d'œil au jardin
Lever les yeux vers le ciel, découvrir l'observatoire
Se retourner, admirer l'Église à la nef tronquée
Poursuivre son chemin; passer les limites de l'ancien cloître inscrites à droite et à gauche dans les murs
Parvenir au bas de la rue, saluer au passage la Tour Blanche
Pousser devant en traversant la rue de la Tour Blanche jusqu'à la cheminée de briques, témoin du passé industriel des lieux
Revenir sur ses pas; remonter la rue; contempler, à gauche, le Musée en plein air
Revenir au Cloître par la rue Fournier, sur la droite
C'est l'heure de la sortie des Collégiens...
Orléans, la vieille ville, le Cloître Saint-Aignan
merci pour la promenade
RépondreSupprimergrandeur de ce cloître qui mérite son nom, apparemment, pas le calme
> Brigitte Celerier, un bel espace autrefois occupé non seulement par un cloître mais également par un cimetière, l'un des plus anciens de la ville, l'un et l'autre aujourd'hui disparus.
SupprimerTiens, ce matin j'ai bu le café dans une imprimerie aptésienne à côté d'une très haute cheminée de brique. Une ancienne fabrique de confiseries paraît-il. Mais je n'ai toujours pas compris l'usage de la cheminée. Elle a à sa base une ouverture (maintenant bouchée de brique) pas beaucoup plus grande que celle d'un four à pain...
RépondreSupprimerMichel, cette ouverture à la base me fait penser à une entrée d'air facilitant l'évacuation des fumées.
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SupprimerUne intéressante visite guidée pas à pas, merci Jeandler.
RépondreSupprimerComme Michel, la cheminée m'interpelle, mais pas du tout pour les mêmes raisons. Je trouve cette photo tout simplement belle, car superbement cadrée.
Le Musée en plein air est un avant goût d'un menu plus conséquent, j'espère ;-)
> Tilia, quand on découvre la cheminée, elle surprend. Témoin d'un quartier industriel voué à la vinaigrerie, quartier aujourd'hui en déshérence et plus ou moins abandonné, la ville semble-t-il hésitant entre de multiples projets. Des murs plus ou moins croulants, une flore variée a conquis le terrain et les artistes-graffeurs s'en donnant à cœur joie. J'ai déjà, ici et là, publié quelques vues de ce musée en plein air. Les œuvres changent assez fréquemment, aussi y reviendrais-je sous peu.
Supprimernous n'oublions pas le guide...
RépondreSupprimer> JEA, j'ai assez souvent fait le pilote en diverses occasions et pour des sujets divers en ma "carrière" sans pour autant porter de casquette et pas conséquent sans la tendre et accepter quelque obole. Merci de penser au guide. Le plaisir était,tout autant, pour moi, de rencontrer un public et de faire découvrir.
SupprimerOrléans ville cloîtrée alors ?
RépondreSupprimer> Gérard, une ville aux multiples églises, un peu bigote, ancienne France. Mais elle n'a conservé aucun des cloîtres qui flanquaient les églises les plus anciennes. Les Guerres de Religion puis la Révolution ayant ici sévi avec une belle rigueur. Celui-ci, en particulier, semble avoir été saccagé lors des incursions dévastatrices des Normands qui remontaient la Loire depuis Nantes.
SupprimerPromenade matinale... en partant de la petite rue tortueuse en descendant, pleurons pour le pauvre Gaspard...
RépondreSupprimerBeau week end cher Pierre
> Mémoire du silence, une rue bien modeste pour notre Amiral, Gaspard II de Coligny. Tout un quartier (moderne) porte également le nom de cet illustre parmi les politiques de son temps.
SupprimerBelle promenade, où que l'on regarde, des trésors...
RépondreSupprimer> Françoise Dumon, à la découverte de trésors et de moindres choses. L'agrément de la promenade.
SupprimerUne belle promendade me poser dans un clôitre en douceur de vivre , un bonheur ...
RépondreSupprimer> Pensées au fil de l'eau, des instants de bonheur, des lieux anciens de prière et de méditations, sans aucun doute, mais aussi de violence, de massacres et autres vilénies.
SupprimerPromenade
RépondreSupprimer> Pensées au fil de l'eau, un tout petit circuit mais où l'on peut évoquer bien de choses tout en flânant...
SupprimerMerci pour cette balade guidée, scandée de points remarquables. Pour certains, je ne suis pas sûre du tout de les avoir remarqués si tu ne les avais pointés ...
RépondreSupprimer> Midolu, et bien d'autres, oubliés, inaperçus... Ce n'est qu'en passant et repassant qu'on les découvre.
SupprimerN'oubliez pas de mettre votre capuche, Sartre devait être, en plus, légèrement anti-clérical (belles photos) !
RépondreSupprimer> Dominique Hasselmann, mettre une capuche par les temps qui sont est une nécessité. Légèrement anti-clérical, je dirais plutôt anti-clérical. Mais néanmoins, je verrais fort bien notre philosophe néantifère (si la fonction existe encore) dans le rôle du bedeau.
SupprimerJuste un petit tour
RépondreSupprimerFlânerie dans les ruelles
En chemin faisant
> Monique, venir et revenir, varier légèrement le circuit, le faire dans un sens puis dans l'autre : chaque fois les choses vues sous un angle différent. D'autant que dans ces ruelles, on ne rencontre pratiquement ni voitures ni quelque humain que ce soit sauf à certaines heures.
SupprimerCher Pierre, merci de la promenade.
RépondreSupprimerJe t'ai suivi bien à l'aise pour descendre la rua tortueuse en regardant tout ce que tu as montré.
Mais tu as monté très rapidement et j'ai perdu l'air.
Je vais me reposer au cloître,regardant les collégiens.
> Neyde, la remontée mériterait à elle seule une petite note, des roses se hissant au-dessus d'un mur, des jardins devinés, quelques portails. Une place silencieuse qu'anime, au début et à la fin de leurs cours, une nuée de jeunes en herbes.
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